partis politiques, vie politique contemporaine, article 4 de la Constitution, organisation locale, parti de masse
La vie politique est une vie concurrentielle, conflictuelle
Dans l'article 4 de la Constitution, le rôle des partis est reconnu, mais il n'est pas dit que pour être président il faut être à la tête d'un parti politique. On constate que tout ce qui rend possible la vie politique sous la Vème ne figure pas forcément dans la Constitution.
Les deux principaux partis sont les partis qui disposent du plus grand nombre d'adhérents.
Les partis n'ont pas bonne presse dans la presse, souvent les reportages sont des reportages ironiques ou encore critique.
[...] Les partis donnent à leur membre possibilité de faire des rencontres. Le parti Masse : Pour Maurice Duverger, les partis de masse qui renvoyer dans les années 50 aux partis socialiste, communiste étaient des organisations qui s'appuyer sur l'encadrement des masses populaires aussi nombreuse que possible. Les lois des reins (phénomène récurrent) d'oligarchie a comme processus de confisquer une bonne partie du pouvoir, c'est ce qui donne l'omniprésence aux dirigeants. Cette tendance se retrouve dans la plus part des organisations qu'ils soient dans les partis de masse ou dans les partis cadres. [...]
[...] En quelque sorte l'organisation est toujours plus forte que ses leaders. Dans les partis politiques il y a un phénomène d'amour du leader. Chirac est devenu Président grâce au RPR fondu sur les fondements du parti de De Gaulle, Chirac a pris les commande dans un parti post-gaulliste, il a réussi le pari de reprendre le pouvoir et d'être le porte-parole de l'organisation gaulliste. Les partis politiques sont des organisations qui s'enracinent dans des territoires spécifiques, qui ont une culture, une histoire, une population locale spécifique. [...]
[...] Les partis sont financés depuis 88 et 90. Pour éviter la corruption, le conflit d'intérêt on a considéré qu'il fallait que le financement des partis politiques soit public. Un adhérant n'apporte que peu d'argent mais porte la parole du parti dans les différents territoires, il permet aussi de former les futures dirigeants. Autre définition des partis proposés par Max Weber : Les partis politiques sont des sociasions reposant sur un engagement libre ayant pour but de procurer à leur chef le pouvoir au sein d'un groupement et à leurs militants actifs des chances- idéales ou matérielle- de poursuivre des buts objectifs, d'obtenir des avantages personnels ou de réaliser les deux ensembles. [...]
[...] Il cherche à recruter pour avoir suffisamment de porte-parole dans les différents territoires, plus il y a de monde dans une organisation, plus celle-ci dispose de force collective, il existe une force du nombre. Cela lui permet d'être vu dans le monde politique. C'est également permettre au parti de se régénérer, c'est lui donner la possibilité de perdurer, de traverser le temps, c'est ainsi que les organisations peuvent voir éclore de nouveau dirigeant. Souvent pour être candidat au nom du parti il faut avoir convaincus les adhérents. Dans notre système ou le financement des partis politiques est publiques dont la source principale de revenue est l'argent public est-il vraiment utile d'avoir des adhérents. [...]
[...] Si on prend le cas Français, force est de constater que l'apparition des partis politiques a été relativement tardive. Il semblerait que la révolution française qui promu l'idéologie de l'intérêt général, d'une certaine façon s'oppose à la notion même de parti. Les associations en France ont eu une reconnaissance tardive, il faut attendre 1901 et la loi sur les associations pour que les associations puisse exister mais aussi pour que les parti profitent d'une reconnaissance général. Il faut attendre 1958 pour voir le rôle des partis reconnus constitutionnellement. [...]
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