Italie, veille des élections, gouvernement Mario Monti, Berlusconi, bilan économique, politique de rigueur
Démission de Berlusconi. Situation financière très délicate, spread très défavorable à l'Italie, interférence et pression européenne sur la politique italienne qui n'a pas été très bien vécue et qui a mis en difficulté Berlusconi.
Son impopularité était notoire pour la situation du pays et la série de révélations sur sa vie privée par rapport à l'Église, plus une coalition de plus en plus grande avec le grand patronat italien qui commença à le critiquer très fortement.
[...] La coalition qui gagne a une majorité à la chambre des députés, pour le Sénat répartition au niveau régional : le contrôle de la Lombardie/Piémont/Sicile assure le Sénat Sept questions sur les élections A priori candidat pour être président du Conseil. Son entrée en politique change la donne. Quelle participation ? Les italiens ont tendance de voter plus que ses voisins, et mobilisation lors des polarisations de la vie politique. Le centre-droit remonte t'il ? Présence politique permanente de Berlusconi chez Santoro. Monti et le centre réussiront-ils leur opération ? Programme dur qui assouplit, devient un politique Le centre gauche peut-il gagner ? [...]
[...] Pour des raisons historiques, les Italiens ne vont pas vers l'Etat lors des crises. Ils se replient sur des réseaux de famille et sur l‘énorme épargne. La partie de l'épargne des italiens diminue de plus en plus. Bilan politique L'Italie a retrouvé de la crédibilité perdue depuis 2008, on a retrouvé une Italie européenne. Hollande avait un point de convergence avec lui, austérité mais avec de la croissance, ce qui mena nos deux pays à des actions communes, rapport très bons entre les deux avec des intérêts communs. [...]
[...] Quel poids pour le vote protestataire ? Movimiento Cinque stelle en perte de vitesse et car Berlu leur prend es votes Rivoluzione civile de gauche, bandrille dans les rangs du PD Quelle majorité, quel gouvernement, quelle politique ? En décembre, tout le monde croyait que l'Italie allait passer au centre gauche Quels leaders ? - Beppe Grillo, coluche italien avec des Bourdieu - Antonio Ingroia, magistrat de gauche radicale qui critique la modération du PD - Berlusconi, le retour de la momie, on a cru que la télévision jouerait un moindre rôle avec la force des réseaux sociaux sauf qu'il n'y a plus de rêve berlusconien - Mario Monti - Pier Luigi Bersani, dirigeant du PD, ex-communiste réformiste très habile, problème de stratégie : faire le bouffon ou le professeur ? [...]
[...] Des élections très attendues. Nouveau miracle italien aorès la démission de Silvio berlusconi, renversement d'image du pays du vice à la vertue. L'Italie de Mario Monti 11/11, la formation du gouvernement Mario Monti Démission de Berlusconi. Situation financière très délicate, spread très défavorable à l'Italie, interférence et pression européenne sur la politique italienne qui n'a pas été très bien vécue et qui a mis en difficulté Berlusconi. Son impopularité était notoire pour la situation du pays et la série de révélations sur sa vie privée par rapport à l'Église, plus une coalition de plus en plus grande avec le grand patronat italien qui commença à le critiquer très fortement. [...]
[...] Seules la Ligue du Nord et l'Italie des valeurs en plus du PC et des verts ne l'ont pas soutenu. Il compose un gouvernement uniquement composé d'experts et de professeurs. Le bilan économique et social Politique de sacrifice et de rigueur, politique de choc, la salva italia, politique de sang et de larmes qui tranche avec ce qu'avait dit Berlusconi, jusqu'en été 2011, manque de crédibilité. Réduire les dépenses publiques pour réduire le déficit et la dette publique Hausse énorme des impots avec le rétablissement de l'impot semblable à la taxe d'habitation qui se combine avec des opérations coup de poing contre la fraude fiscale Réforme sur les retraites, travailler encore plus pour équilibrer les comptes Mesures en faveur de la libéralisation Plus de souplesse dans l'organisation du travail Ces deux dernières réformes ont été à demi-accomplies perdant les partis de soutien, énorme écart entre une loi adoptée et la réalité de l'administration italienne très résistante. [...]
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