Pendant ses déplacements à l'étranger ou encore lors de plusieurs déclarations, la candidate socialiste a multiplié les faux pas diplomatiques, déclenchant à chaque fois l'ire de la classe politique. Nous allons donc faire un tour d'horizon de ses principaux dérapages verbaux.
Dans le cadre des débats internes avant la désignation du candidat socialiste à la présidentielle, elle juge que l'Iran, signataire du Traité de non-prolifération nucléaire, ne doit pas accéder au civil nucléaire. Elle se dit même prête à faire pression sur les organismes internationaux pour que cette interdiction soit effective. Or c'est le nucléaire militaire qui provoque des remous diplomatiques entre Téhéran et la communauté internationale. Mardi 23 janvier 2007, elle réaffirme cette conviction « au risque de gêner une négociation européenne complexe dont l'aboutissement est un enjeu mondial majeur ».
[...] La rapidité de la justice chinoise : la candidate socialiste félicite Pékin pour la rapidité de sa justice et déclare : »j'ai rencontré un avocat qui me disait que les tribunaux chinois sont plus rapides qu'en France. Vous voyez : avant de donner des leçons aux autres pays, regardons toujours les éléments de comparaison Nouveau scandale : la chine est le pays qui pratique le plus d'exécutions capitales dans le monde, le plus souvent avec une balle dans la tête. [...]
[...] Mardi 23 janvier 2007, elle réaffirme cette conviction au risque de gêner une négociation européenne complexe dont l'aboutissement est un enjeu mondial majeur - Le 3 décembre 2006 : dérapage verbal d'un député du Hezbollah Elle reste sans réaction lors d'une réunion au Liban où un député du Hezbollah établit un parallèle entre la politique israélienne au Liban et le nazisme. Elle affirmera ensuite n'avoir rien entendu de ces propos, au contraire de la quinzaine de journalistes présents. - Le 6 janvier 2007 : La Chine La Bravitude mot inventé maladroitement par Royal dans l'euphorie d'une visite dans le lieu majestueux qu'est la Muraille de Chine. [...]
[...] Les bourdes de Ségolène Royal lors de sa course à l'investiture présidentielle Pendant ses déplacements à l'étranger ou encore lors de plusieurs déclarations, la candidate socialiste a multiplié les faux pas diplomatiques, déclenchant à chaque fois l'ire de la classe politique. Nous allons donc faire un tour d'horizon de ses principaux dérapages verbaux. - Le 6 novembre 2006 : le nucléaire civil iranien Dans le cadre des débats internes avant la désignation du candidat socialiste à la présidentielle, elle juge que l'Iran, signataire du Traité de non-prolifération nucléaire, ne doit pas accéder au civil nucléaire. [...]
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