Après la libération de la France, en 1940, le gouvernement de la troisième république, ainsi que de nombreux politiciens sont discrédités. De nouvelles institutions sont donc nécessaires, et un gouvernement provisoire de la république française (le GPRF) est créé. Les institutions de cette quatrième république sont cependant proches de celle de la troisième république. Alors, comme la troisième, la quatrième république est-elle synonyme d'échec ? Pour répondre à cette question, nous allons voir premièrement qu'à sa création, la quatrième république représentait pourtant un espoir pour la France. Puis nous verrons que cependant, elle échoue rapidement du fait de l'instabilité ministérielle (...)
[...] Il y a donc une forte opposition entre le gouvernement et les communistes et gaullistes. Mais si la quatrième république est un échec c'est principalement du à son instabilité ministérielle. En effet, de 1944 à 1958, les gouvernements se succèdent et fragilisent la république. Tout d'abord il y eu le tripartisme, ave De Gaulle, puis sans De Gaulle. En 1947, avec la nouvelle constitution, Vincent Auriol élue président de la république. La même année De Gaulle crée son parti, en opposition avec le gouvernement, fragilisant ainsi la confiance du peuple en celui-ci. [...]
[...] Car pour une reconstruction économique de la France, tous les partis politiques français se mettent d'accord. Pour moderniser la France mesures vont être prises. Tout d'abord les nationalisations, soutenues par l'opinion publique, et les ouvriers car il y a un manque de confiance envers les patrons, que l'on soupçonne de collaboration. Ensuite, la planification, mis en place le 3 janvier 1946, avec un premier plan d'ensemble pour la modernisation et l'équipement économique de la métropole et des territoires d'outre-mer dont Jean Monnet est nommé commissaire. [...]
[...] La IVème République est elle synonyme d'échec (1946-1958) ? Intro : Après la libération de la France, en 1940, le gouvernement de la troisième république, ainsi que de nombreux politiciens sont discrédités. De nouvelles institutions sont donc nécessaires, et un gouvernement provisoire de la république française (le GPRF) est créé. Les institutions de cette quatrième république sont cependant proches de celle de la troisième république. Alors, comme la troisième, la quatrième république est elle synonyme d'échec ? Pour répondre à cette question, nous allons voir premièrement qu'à sa création, la quatrième république représentait pourtant un espoir pour la France. [...]
[...] C'est le retour du général De Gaulle à la présidence, le premier juin1958, qui marquera la fin de la quatrième, et le début de la cinquième république. Conclusion : La IVème République a donc amené de nombreux changements positifs, aussi bien au niveau économique que politique ou social. Mais nous avons vu que cependant, la IVème République est synonyme d'échec, du fait de nombreuses crises, et d'une instabilité ministérielle très forte. La IVème République prendra donc fin en 1958, avec le début de la Vème République. Celle ci se soldera-t-elle par un même échec ? [...]
[...] Ce nouveau gouvernement de la quatrième république va alors être source de nombreux changements politiques et sociaux. Le premier étant le droit de vote des femmes, le 22 avril 1944, caractérisant ainsi une France nouvelle. Les différents chefs d'état vont également prendre des mesures en faveur du peuple français. Ce que va faire Pierre Mendès France, investit en 1954 à la majorité. Il devient alors très populaire en signant les accords de Genève, le 20 juillet 1954, déclarant ainsi la fin de la guerre d'Indochine. [...]
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