Président, Russie, URSS, politique, gouvernement, Poutine, Douma, Boris Gryzlov, Medvedev
Intro : Après chute URSS en 1991, Russie traverse longue période de transition vers la démocratie. Celle-ci devient la plus grande et puissante République de l'ex URSS
Russie : plus grande et puissante République de l'ex URSS, vivait encore sous la Constit russe de 1978 calquée sur la constit soviétique.
Finalement : nouvelle Constitution adoptée par référendum 12 décembre 1993
Pb : La Russie était l'Etat le plus puissant de l'URSS, où régime entre les mains d'un despote qui détenait tous les pouvoirs.
[...] Le président russe est-il tout puissant ? Intro : Après chute URSS en 1991, Russie traverse longue période de transition vers la démocratie. Celle-ci devient la plus grande et puissante République de l'ex URSS et Russie : plus grande et puissante République de l'ex URSS, vivait encore sous la Constit russe de 1978 calquée sur la constit soviétique. Finalement : nouvelle Constitution adoptée par référendum 12 décembre 1993 Pb : La Russie était l'Etat le plus puissant de l'URSS, où régime entre les mains d'un despote qui détenait tous les pouvoirs. [...]
[...] Président responsable qu'en cas de haute trahison ou crime grave. Donc peut quand même être destitué. Mais procédure compliquée : - accusation votée par la Douma au 2/3 - La qualification de l'infraction doit être confirmée par la Cour Supreme - la Cour Constitutionnelle doit vérifier le respect de la procédure - Et là seulement le Conseil de la Fédération peut prononcer la destitution, majorité des 2/3 Jamais été utilisée. En conclusion ces limites n'en sont que si majorité hostile au président. [...]
[...] On peut enfin évoquer, au regard de l'actualité récente, une certaine prise sur l'appareil policier et influence sur la justice affaire des Pussy Riot Conclusion : Puissance du président déjà affirmé par la constitution mais amplifié par la pratique sous la présidence de Poutine, il aurait pu en être autrement s'il n'y avait pas majorité au parlement. De plus avec la présidence de Medvedev interversion roles Président / 1er ministre avec Medvedev : montre que c'est essentiellement la pratique politique qui fait la puissance. Ouverture sur la perte de popularité du parti de Poutine+ hausse des contestations. va t'on vers une perte de la puissance présidentielle ? [...]
[...] Il me semble que la Douma n'est pas une plate-forme pour les batailles politiques, pour faire valoir des slogans ou défendre des idéologies . transformé par la presse en la formule le Parlement n'est pas un lieu pour les discussions Mais à relativiser : élections 2011 : Parti Russie unie 238/450 ( environ) : toujours majorité mais tend à baisser Enfin, le contre-pouvoir que pourrait constituer la strcuture fédérale de l'Etat est lui aussi surmontable. Création sous Poutine de 7districts fédéraux, gouverneurs choisis par le président lui-même et plus au SU comme avant. (Pouvois président renforcés par Poutine. [...]
[...] A la Douma il y a tout de même multipartisme, peut parfois bloquer action du président, en particulier avant la réforme de 2006. A l'origine le scrutin était mixte : la moitié élue à la proportionnelle et l'autre au scrutin uninominal : favorisait petits partis parce que candidats populaires au niveau local sans forcément appartenir à un grand parti. Sous Eltsine : multipartisme (pas de majorité) a conduit à une tension permanente entre Président et Douma qui était en mesure de gêner le président malgré sa division. [...]
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