Pétain conçoit le régime de vichy comme un remède à la nation. La défaite et un traumatisme. D'un point de vue militaire, en juin 1940 c'est la défaite française ; en quelques semaines l'armée est battue. C'est la déroute (décomposition du commandement). Du point de vue humain, c'est l'exode et la panique pour la population. (A nuancer --> Les militaires font passer, la défaite sur le dos des politiques de la IIIe --> la plupart étaient pour une poursuite de la lutte à partir de l'empire :exemple de Paul Raynaud, Mandes France, De Gaulle).
[...] Les députés ne sont plus réélus donc, plus de Parlement en France. Le 12 juillet 1940, l'acte de sa succession est mis en place. En septembre 1943, il réforme la constitution opérée par d'autres. Par exemple le sénat, modèle d'avant-guerre, et le gouvernement ne sont pas responsables devant le parlement. Cette constitution n'est jamais appliquée. C'est simplement un projet. Vers fin 1943, on récupère une série de personnes qui vont vers la Résistance La révolution nationale 1. Une commission, la collaboration La collaboration est officialisée par le rendez-vous de Montoire et par une allocution radio le 30 octobre avec un appel à la collaboration aux français. [...]
[...] La défaite et son analyse Pétain conçoit le régime de vichy comme un remède à la nation. La défaite et un traumatisme. D'un point de vue militaire, en juin 1940 c'est la défaite française ; en quelques semaines l'armée est battue. C'est la déroute (décomposition du commandement). Du point de vue humain, c'est l'exode et la panique pour la population. nuancer Les militaires font passer la défaite sur le dos des politiques de la IIIe LA plupart étaient pour une poursuite de la lutte à partir de l'empire :exemple de Paul Raynaud, Mandes France, De Gaulle) La responsabilité de cette raclée est posée avant la fin du combat. [...]
[...] Courant 1940 on met en place le gouvernement. La charte du travail met en place le corporatisme. Au début, c'est le temps du Vichy revanchard. Se succèdent : Laval (12 juillet-13 décembre 1940), Flandin (13 décembre 1940- 9 février 1941), Darlan février 1941-17 avril 1942). Cette dernière phase est plus technocratique et recherche une collaboration active avec les allemands. De fin 1941 à début 1942, on assiste un durcissement idéologique ; c'est le discours du vent mauvais. La promotion active de la révolution nationale est abandonnée. [...]
[...] Les trois sont livrés aux allemands et internés en Allemagne. Pétain dit aussi que c'est à cause de l'état de la population. Les français estiment que la troisième république est responsable de la défaite car le 21 octobre se prononcent contre le rétablissement de la troisième république Pétain Vichy c'est lui. Pétain n'était pas manipulé mais bien conscient et sanctionnait les décisions. C'est l'homme de Verdun qui améliora le sort des anciens combattants en 1917. C'est le dernier maréchal survivant. [...]
[...] En sont prisonniers de guerre. L'obsession de Vichy est la libération des prisonniers. Les négociations ne donnent rien. À une certaine période, c'est la relève des jeunes sur le volontariat ; un jeune contre trois prisonniers. En février 1943, le service du travail est obligatoire. En prisonniers de guerre reviennent. Dans cette affaire, l'Allemagne a tout à y gagner aussi dans l'occupation : cela facilite le maintien de l'ordre et de l'économie. La France occupée a contribué à de l'effort de guerre allemand. [...]
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