Politique moderne, révolution française, restauration, Louis-Philippe, république, politisation
C'est l'héritage de la Révolution Française tout au long du 19e a été tiraillé par ceux qui veulent l'effacer, terminer, recommencer. A la Restauration (retour de la royauté au pouvoir 1814 – 1830), le régime (de Louis XVIII) s'appuie sur la Charte de 1814 qui comporte 2 caractéristiques contradictoires : Fonder la légitimité du pouvoir sur le Roi. Louis XVIII reconnait que les français sont égaux devant le roi.
[...] La professionnalisation de la politique Fin du 19e : émergence du professionnel de la politique. Il émerge dans un contexte plus général : Irruption de nouveaux acteurs de la vie po française ; l'intensification de la lutte électorale ; et l'apparition d'une sphère politique autonome du reste de la société. D'abord les élites traditionnelles, les notables, existaient déjà avant 1848 (suffrage censitaire). Sociologiquement C'est un aristocrate, monarchiste et propriétaire foncier. Ces notables ont fondé leurs manières de faire de la po dans le courant du 19 en fondant la légitimité politique sur la légitimité politique. [...]
[...] L'invention de la politique moderne C'est l'héritage de la Révolution Française tout au long du 19e a été tiraillé par ceux qui veulent l'effacer, terminer, recommencer. À la Restauration (retour de la royauté au pouvoir 1814 1830), le régime (de Louis XVIII) s'appuie sur la Charte de 1814 qui comporte 2 caractéristiques contradictoires : fonder la légitimité du pouvoir sur le Roi. Louis XVIII reconnaît que les Français sont égaux devant le roi. Puis de 1830 à 1848, la Monarchie de juillet, on lira les changements par rapport à la monarchie aristocratique à la monarchie bourgeoise. [...]
[...] L'acte de voter c'est se conformer à des règles que le citoyen se doit d'intérioriser. Voter c'est consentir, exprimer son point de vue sur la politique, c'est se soumettre à l'offre électorale. L'idée républicaine est soumise à un double processus (d'abord extension de son usage et d'appauvrissement de son usage). Auj, il n'existe plus d'opposants à la république (jusqu'en 1919 le groupe des droites). Le terme républicain semble à ce pt incrusté dans le discours politique dominant alors qu'il n'est plus jamais défini. [...]
[...] L'influence croissante des républicains à travers le pays. Élection de 1876 : major républicaine à la chambre (le sénat est à dominante royaliste à ce moment-là). La crise institutionnelle du 16 mai 1877 : Mac Mahon (prés Rep Française) dans le cadre du premier septennat décide de renvoyer Jules Simon, président du conseil, et proclame la dissolution de la chambre des députés. S'en suivent de nouvelles élections et Mac Mahon voit à nouveau les Rep gagner les élections. Conséquence : Léon Gambetta invite Mac Mahon à se soumettre ou se démettre victoire de la Rep face aux opposants Monarch. [...]
[...] Quel est le cœur idéologique du mouvement rep ? C'est une tentative de développement d'une troisième voie entre le libéralisme politique et socialisme Gambetta : l'idée est de former une liberté participation du citoyen. La Rep se définit par l'exercice du suffrage universel, car la République est une forme qui implique le fond. L'idée que veulent développer les rep c'est de réaliser l'égalité sociale par la participation politique or elle s'exerce par le suffrage universel. L'éducation dans l'esprit des rep est conçue comme un apprentissage de la vertu civique. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture