Droit, suffrage universel, liberté de la presse, droit de vote, partis politiques, classe ouvrière, suffrage censitaire, Ledru-Rollin, liberté de conscience et de religion, Louis Napoléon Bonaparte III, discrimination de gernre, illetrisme, Napoléon Bonaparte
Entre 1848 et 1851, le droit de vote et la liberté de presse sont deux choses souvent remises en cause par de nombreux acteurs, comme Louis Napoléon Bonaparte III ou les bourgeois. C'est d'ailleurs ce qui a fait que l'État a tenté de limiter le droit de vote à travers des réformes, afin d'empêcher le peuple de s'exprimer pleinement en matière de politique. On peut donc se demander comment les Français font l'apprentissage du droit de vote.
[...] Comment les Français font-ils l'apprentissage du droit de vote ? Entre 1848 et 1851, le droit de vote et la liberté de presse sont deux choses souvent remises en cause par de nombreux acteurs comme Louis Napoléon Bonaparte III ou les bourgeois. C'est d'ailleurs ce qui a fait que l'État a tenté de limiter le droit de vote à travers des réformes, afin d'empêcher le peuple de s'exprimer pleinement en matière de politique. On peut donc se demander comment les Français font l'apprentissage du droit de vote. [...]
[...] Nous avons vu comment les Français peuvent exprimer leur droit de vote. Mais ce droit est souvent remis en cause et est rapidement limité . néanmoins limité En premier lieu, peu après son coup d'État, Louis Napoléon Bonaparte III met en place une réforme qui ne donne le droit de vote qu'aux personnes vivant au moins 3 mois dans le même domicile, faisant ainsi que beaucoup d'ouvriers, qui sont contraints de souvent déménager à cause de leur travail, ne peuvent pas aller voter. [...]
[...] En troisième lieu, le droit de vote au XVIIIe siècle est un droit qui n'est accordé qu'aux hommes, les femmes ne pouvant donc pas voter et exprimer leur opinion politique. En conclusion, le peuple français fait l'apprentissage du droit de vote, grâce au suffrage universel qui lui permet d'exprimer clairement ses opinions politiques. Mais Napoléon tentera, après ce coup d'État, de limiter ce droit en manipulant le peuple, qui ne sait ni lire ni écrire. Sous l'apparition de la Ve République, tous les Français d'au moins 18 ans, même les femmes, peuvent voter librement, sans distinction de classe, de religion, ou de sexe. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture