partis politiques, groupes de pression, élections, mode de scrutin, système électoral
Les partis politiques, groupes de pression et les élections (à partir de la formation et participation des partis politiques à la vie politique). Les partis politiques sont nés historiquement dès la naissance du suffrage universel. Le Liban offre un spectacle extrêmement riche en problèmes depuis de 1990, date du retour à la normale, la période de l'après-guerre, après la ratification de l'accord de Taef.
Groupe de pression : dans quelle mesure aujourd'hui on peut encore parler de syndicalisme, les ONG comme acteurs importants dans la vie politique et de la démocratie non plus représentative, mais participative ? (Nouvelle conception impulsée par les transformations du monde).
[...] La désignation des présidents de la cellule est généralement faite par les pères ou les anciens chefs de sections. Donc c'est l'élection qui est la procédure la plus conséquente de l'exercice de la démocratie. Au Liban, les chefs font les partis, non pas par les électeurs, ils prennent l'initiative de créer un parti, designer les responsables, il ne faut pas avoir des illusions, donc les chefs ne sont pas élus mais désigné par le sommet. Pour être réaliste, il faut considérer qu'il s'agit de transition, et que ces partis vont se démocratiser. [...]
[...] La mise en place du régime des mouhafazat et kaza en 1960 au Liban. Décisions de Doha (autour du 20 mai 2008) après le fameux 7 mai 2008 lorsque les militants de Hezbollah avaient main mise sur Beyrouth : a. Voter un président qui était choisi par entente. b. Formation d'un gvt d'entente nationale, de coalition nationale, et dans ce gvt la majorité ne soit pas allouer aux 2/3 a la majorité et que l'opposition peut avoir le 1/3 des places pour les donner au président et il a été décidé que personne ne se retire du gvt. [...]
[...] Les milices (troupes d'assaut) étaient constituées par des personnes estimées par l'administration hitlérienne comme la crème, des gens de race pure. De mm les faisceaux de combattants de l'organisation de Mussolini étaient les meilleurs. Tu n'es rien, le parti est tout Donc à droit comme à gauche il y a une vision sélective, élitiste de l'organisation partisane. Dans les 3 cas, nous ne sommes pas en présence de P de masse. Ils croient plus dans le rôle de l'avant-garde que dans le rôle de la masse. [...]
[...] L'état est déjà une forme avancée de l'organisation politique. L'homme aurait créé l'état pour ne pas obéir aux autres hommes (Bourdeau). Les personnes ont des mandats qui ont un début et une fin, sinon il y a une entorse a l'institutionnalisation, il doit y avoir un cadre de mandat, plus on est en présence en mandat, plus on est a la présence d'une institutionnalisation. L'institutionnalisation englobe aussi la notion de rationalité : le concept de bureaucratie désigne chez lui un mode d'organisation fondé sur la rationalité (WEBER). [...]
[...] Ce sont des gens proches du candidat. La famille, et amis de quelqu'un peuvent être associés à sa campagne électorale. Il y a un jeu de d'intuition et d'intérêt personnel non pas seulement des choix rationnels. L'électorat est assez important, c'est difficile de créer un rapport avec la population, il faut donc des fideles, des amis, des liens entre ces 2 mondes. La politique est donc des rapports et tractations, des personnes de confiance choisies par le candidat, ces sont des rassemblements, les proches, les visites dans les maisons, ce sont les comités électoraux. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture