Partis politiques, définition, défiance, illégitimité, modernisation de la vie politique, cumul des mandats, Emmanuel Macron, Gilets Jaunes, LREM, démocratie directe, représentativité, citoyenneté
Il y a une modernisation de la vie politique (femme et politique). Il y a eu du progrès, mais il en faut encore. Demeure la question du cumul des mandats et des fonctions ; dans les autres pays européens, il faut choisir entre un mandat et un autre. Les partis politiques contemporains sont : (extrême) droite, (extrême) gauche, écologique… La question est de savoir qui vote pour ces partis, l'évolution de l'idéologie, l'organisation des partis, avec des partis plus ou moins centralisés. En 2017 il y a l'élimination des deux grands partis politiques français qui étaient présents depuis 20 ans (Républicains et PS). Macron a créé un nouveau parti politique, il crée son parti en avril 2016 et sans soutien, gagne les élections.
[...] De la même façon, le parti politique est situé entre la particularité de son origine (être de droite ou de gauche) et la généralité de sa vocation (accéder au pouvoir et agir pour le bien). On peut dire que le parti politique révèle les difficultés premières de la politique (car le principe est de se distinguer des autres) et les contradictions essentielles de la démocratie (à la fois, il faut être représentatif donc mettre en avant la diversité sociale qu'on représente et en même temps, jouer en faveur de l'unité au travers du principe d'unité générale et représenter l'ensemble de la société, au-delà de son appartenance politique). [...]
[...] Les partis politiques : définition, défiance et illégitimité I. Qu'est-ce qu'un parti politique ? Il y a une modernisation de la vie politique (femme et politique). Il y a eu du progrès, mais il en faut encore. Demeure la question du cumul des mandats et des fonctions ; dans les autres pays européens, il faut choisir entre un mandat et un autre. Les partis politiques contemporains sont : (extrême) droite, (extrême) gauche, écologique La question est de savoir qui vote pour ces partis, l'évolution de l'idéologie, l'organisation des partis, avec des partis plus ou moins centralisés. [...]
[...] Les partis politiques ont donc un rôle à jouer même si leur image est quelque peu écornée. Il y a un enjeu représentatif avec une critique sur le fonctionnement de notre démocratie, on se retrouve face à un non-choix au second tour de l'élection présidentielle ( et peut-être en 2022), dans ce cas il n'y a pas le choix entre deux projets de société et donc un risque de voter par défaut et alors la question de la légitimité de Macron ( contre pour Chirac en 2002), il a été élu par des inscrits (nombre important de votes blancs), seulement des inscrits ont voté en voulant soutenir E. [...]
[...] Elle renvoie aussi à l'idée de l'option, du choix, donc nécessairement de séparation, puisque le choix vise à séparer. Le parti est étranger à la généralité, même si la fonction du parti est l'exercice du pouvoir et donc la généralité, étant donné le but premier d'exercer le pouvoir pour le plus grand nombre, le général constitue la généralisation de son existence et donc le parti est pris entre la tension vers l'unité du corps politique : l'État et en même temps cette tension le mène vers l'expression de la diversité naturelle de la réalité sociale. [...]
[...] Cela s'explique par une méfiance envers nos représentants politiques. Cette méfiance est illustrée par des chiffres sortis d'une étude du CEVIPOF, il fait un sondage tous les ans, en décembre, qui paraît en janvier suivant : cette étude est appelée baromètre de la défiance politique et a pour titre « Une colère qui vient de loin ». De cette étude en sort une confirmation de la crise des partis politiques, en particulier des représentants nationaux (PRF et 1er ministre) et une très forte critique à l'égard des élections (il n'y a plus que des Français qui citent en 1er le fait de voter à l'élection comme le 1er moyen d'influencer les décisions prises en France alors que l'an dernier ils étaient 48 Au contraire des Français citent la manifestation comme 1er ou 2 d moyen d'influencer les décisions (on voit donc bien cette défiance à l'égard des élections et donc de la politique. [...]
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