Idées politiques, systèmes politiques, cités grecques, citoyens, système aristocratique, aristocratie Athénienne, cité démocratique, gouvernement, république romaine, traités politiques, La République, politique romaine, stoïcisme, révolution chrétienne, doctrine spirituelle
Plusieurs systèmes politiques voient le jour, au départ une forme monarchique, un roi, le basileus, entouré d'un conseil d'ancien dirige. À partir de la fin du VIII? siècle, en lien avec l'essor économique, le système évolue. Un système aristocratique émerge, le pouvoir est aux mains de grandes familles, roi remplacé par un magistrat qui exerce le pouvoir pour la communauté. Mais les tensions, dont au VII? siècle et VIe siècle, nouvelles forment voit le jour. Avec les colonies qui ont réfléchi beaucoup à la vie politique, on cherche la meilleure forme possible. Des penseurs se réunissent à Delphes pour réfléchir sur la meilleure solution.
[...] Le propos le plus clair du stoïcisme est d'intérioriser la liberté. Un paradoxe stoïcien dit : « seuls les sages sont rois parce qu'ils sont seuls en mesure de reconnaître ce qui est bon de ce qui est mauvais ». Donc finalement l'idéal stoïcien du sage tend vers un pouvoir monarchique et personnel. Nous sommes loin de l'éthique grecque traditionnelle. Affirmer l'existence d'une société universelle régie par une loi elle même universelle, c'est opérer une mutation complète, un renoncement définitif à l'éthique grecque de la cité. [...]
[...] Un citoyen grec joue un rôle dans la vie politique, c'est un être politique. L'éducation de l'Athénien vise à en faire un bon citoyen au service de sa cité et de la communauté. Pour autant en dehors des lois à respecter, il y a une certaine liberté individuelle puisque le citoyen peut agir comme bon lui sembles selon les règles. Ainsi, on contrebalance la tendance totalitaire. Etre citoyen est un rôle important, les charges publiques sont exercés par les citoyen à tour de rôle par tirage au sort. [...]
[...] Mais cet homme doit être vertueux, posséder des qualités morales qui seront une garantie de bon gouvernement pour les citoyens. L'empereur doit être un bon empereur et respecter les lois, tout en ayant tous les pouvoirs. Mais que se passe-t-il si l'empereur n'est pas vertueux ? Sénèque propose deux réponses contradictoires. Dans un premier temps, il fera preuve de complaisance envers Néron, défendant l'idée que même dans un régime tyrannique, le sage peut dépasser le cadre politique, étendre sa société à tout l'univers et pratiquer la vertu à l'échelle du monde. [...]
[...] C'est un remodelage de l'espace civique. Les membres d'une même tribu combattent côte à côte et désigne 50 bouleutes qui siègeront au sein de la boulé. La boulé, organe essentiel de la démocratie athénienne, prépare les séances de l'Assemblée des citoyens( Ecclesia) et rédige les décrets. Clisthène certes, pas crée la démocratie athénienne mais il en a posé le cadre en créant des conditions de son application. Donc les athéniens seront passé par la monarchie, la tyrannie puis la démocratie. [...]
[...] Beaucoup de points les opposent. Aristote est surtout un réaliste. Il applique aux sciences de l'homme la méthode qu'il a déjà suivie pour l'observation de la nature. La cité comme idéal Aristote veut démontrer dans ses écrits que la cité est le résultat d'une évolution naturelle, d'un développement progressif, et que la cité est un organisme vivant. Le point de départ de la Cité, selon Aristote, est la famille. Celle-ci est la première union que l'homme contracte par nécessité biologique, animale. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture