La politique et son pouvoir, Michel Debré, gaullisme, initiative référendaire, référendum, peuple souverain
Michel Debré, homme politique, monument du gaullisme et grand protecteur de la souveraineté des peuples au point de rejeter dans ses mémoires la supranationalité ou la communauté européenne qu'il estime, emboutit la souveraineté française lorsqu'il est question sa primauté. Il aura consacré son mandat de sénateur de 1948 à 1958 a critiquer les méfaits du
système politique instauré par la constitution de 1946. C'est dans une critique contextuel du pouvoir politique qu'en 1950, Michel DEBRÉ publie son ouvrage : La politique et son pouvoir, ouvrage dans lequel il fait état du système politique actuel et critique le pouvoir administratif de celui-ci, et soulèvera de plus ici l'idée d'un « gouvernement de la liberté » dans lequel les peuples peuvent s'exprimer.
[...] Ainsi, il est possible d'observer un contraste au sein du texte (par la volonté de l'auteur ou non), entre l'unique caractère du référendum français et les multiples fonctions qui peuvent se présenter pour d'autre référendums au seins d'autres États. Une ouverture sur les diversités de fonction référendaires Au terme de l'extrait du texte, l'auteur va évoquer l'existence, en comparaison avec les référendums prévus en France, d'autres référendums qui vont posséder des fonctions différentes, de cette manière, il évoque le fait qu'un référendum peut aussi être Abrogatif contrairement au référendum français qui permet l'adoption d'un texte celui là permettrait donc dans d'autres pays, comme en Italie par exemple d'abroger es textes déjà en vigueur, comme en Suisse et en Italie par exemple. [...]
[...] C'est dans une critique contextuel du pouvoir politique qu'en 1950, Michel DEBRÉ publie son ouvrage : La politique et son pouvoir, ouvrage dans lequel il fait état du système politique actuel et critique le pouvoir administratif de celui-ci, et soulèvera de plus ici l'idée d'un gouvernement de la liberté dans lequel les peuples peuvent s'exprimer. L'éxtrait de cet ouvrage auquel il sera fait un commentaire considère la notion du référendum sous ses divers attraits en 1950, en d'autre termes avant la constitution de 1958 et la réforme constitutionnelle de 2008, celle-ci qui n'a toujours pas fait l'objet d'une loi d'adoption, ne permettait théoriquement plus au Président de la République d'être le seul représentant à pouvoir décider de l'organisation d'un référendum, c'est pourquoi il peut être utile d'y prêter attention au moment même ou le Parlement vient de voter un projet de loi fixant les modalités d'organisation du référendum d'initiative populaire afin de le rendre applicable. [...]
[...] Cette même constitution et ce même principe fut appuyer par la personne qui joua un rôle des plus important (avec le général de GAULE) dans se rédaction; Michel Debré, homme politique, monument du gaullisme et grand protecteur de la souveraineté des peuples au point de rejeter dans ses mémoires la supranationalité ou la communauté européenne qu'il estime, emboutit la souveraineté française lorsqu'il est question sa primauté. Il aura consacré son mandat de sénateur de 1948 à 1958 a critiquer les méfaits du système politique instauré par la constitution de 1946. [...]
[...] Une initiative populaire Il s'agit bien d'une autre méthode d'organisation référendaire d'on Michel DEBBRÉ donne clairement l'explication : c'est à dire le référendum organisé à l'initiative d'une fraction du corps électoral ici il précisera que ce type de référendum n'est pas prévu dans la constitution de 1958, à noter cependant, qu'actuellement c'est précisément de ce type de référendum d'ont il est question de voter les modalités au sein du parlement, la France se sera t-elle inspirée des exemples issues par les autres pays comme l'exemple de l'Italie, de la Suisse, de la Californie, cité par Michel DEBBRÉ et bien d'autres ? Toujours est t-il qu'il est bien question ici d'une méthode de démocratie direct, une méthode qui fait appel au peuple. [...]
[...] L'auteur met de plus en évidence un autre type de référendum, le référendum consultatif qui est organisé pour connaître l'opinion des électeurs, mais n'a Page 4 sur 5 aucune valeur contraignante c'est l'hypothèse ou l'on va demander l'avis du peuple sur une question qui est difficile a solutionner, ou sur un décision qui peut être contestée. Le principe du peuple souverain prend alors fouets ses formes, il est possible de considérer de part le point de vue dit souverainiste de l'auteur qu'il a été volontaire de comparer subjectivement les référendums prévus en France aux référendums qui semblent plus aller dans le sens d'une souveraineté des peuples, afin de faire réagir et ressortir l'idée qu'il peut être utile d'ajouter aux référendums présents dans le cadre de la constitution de 1958, d'autres référendums aux qualités observées dans les référendums comme il y en a en Suisse, en Italie, en Californie. [...]
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