Augustin Kouyo, l'UNJCI, Union Nationale des Journalistes de Côte d’Ivoire, RDR, Alassane Dramane Ouattara, Yopougon, Notre voie, Côte d’Ivoire
Le texte soumis à notre analyse est extrait du Quotidien ‘‘Notre Voie'' Numéro 3279 du Mercredi 13 Mai 2009, écrit par le journaliste Ivoirien Augustin Kouyo membre du Conseil exécutif de l'UNJCI (Union Nationale des Journalistes de Côte d'Ivoire) et secrétaire général de la rédaction du quotidien ‘‘Notre Voie''. L'article est intitulé : Polémique: Quand le diable veut se faire ange.
Dans cet article du journaliste Kouyo Augustin, il est question des commentaires et critiques portés sur le meeting du président du RDR Alassane Dramane Ouattara à la place Figayo de Yopougon le 12 mai 2009 devant la jeunesse ivoirienne.
[...] Selon les estimations, environ militants du parti républicain, ont pris d'assaut cet espace, naguère réputé favorable aux socialistes. Ce jour là, Ficgayo donnait l'impression d'être plutôt, un bastion du RDR. Jeunes, hommes, femmes, enfants, travailleurs, chômeurs, commerçants, étudiants et élèves, tous habillés dans des tee-shirts à l'effigie d'Alassane Ouattara, ont manifestement fait la grande démonstration 5 de force sur les terres du parti au pouvoir. Donnant ainsi la preuve que, désormais, aucun parti politique Ivoirien, fût-il le FPI, peut se targuer d'être dominateur à Yopougon. [...]
[...] Ce journaliste veut nous faire croire le contraire du succès qu'à connu le Meeting du docteur Alassanne Ouattara. En effet il utilise ces propos pour discréditer non seulement la candidature du président du RDR mais en même temps condamner son action en le qualifiant, lui et son parti des personnes hors la loi et de novice dès le premier paragraphe de son article (ligne 6 et et dans le 2nd paragraphe (ligne 3). Kouyo Augustin veut démobiliser et détourner la jeunesse Ivoirienne des idéologies d'ADO et les détourner de toutes promesses et projet de vie établir par Ado pour elle , c'est pourquoi Kouyo Augustin rappel à la jeunesse Ivoirienne de passé compromettant du président du RDR et tout le mal qu'il leur a fait dans les 1990 à 1993 et septembre 2002 car pour le journaliste Ado se moque des ivoiriens, il ne lutte que pour ses propres intérêts. [...]
[...] Au vu de tout ce qui à été dit, rien ne prouve que le message véhiculé par ce journaliste fera facilement route dans les pensées de la population Ivoirienne, car cette population ne sait plus à qui faire confiance ou à qui jeter la pierre car en politique tout est possible et tous utilise les même moyens pour faire les campagnes. Aucun parti politique ne dira jamais du bien des autres partis alors il revient à la cible de ces campagnes de faire un bon choix et non à un parti d'imposer leur politique comme la meilleure politique, la côte d'ivoire reste après tout un pays de démocratie. Le peuple sentira plutôt la faiblesse la peur d'un parti si et seulement si ce parti se fait trop d'éloges. [...]
[...] Ou ce Meeting du RDR met-il en doute le succès des campagnes prochaines du FPI ? C'est pourquoi dans le travail qui suivra, il nous incombe d'identifier et de caractériser les véritables soucis de Kouyo Augustin et l'objectif qu'il vise en écrivant un tel Article qui est débordé des propos blessants, calomnieux, infamant, insultant, irrévérencieux, offensant, violent. L'hypothèse L'hypothèse que nous dégage de ce texte est la suivante : Alassane Draman Ouattara, roi dans l'antre du FPI. Les catégorisations A la lecture de ce texte, les catégorisations qui se dégagent sont les suivantes : Campagne «Politique Peuple offenses Considérons la campagne : elle a été obtenue par généralisation de toutes les occurrences qui s'y rattachent : campagne présidentiel Elections Toutes ces 3 occurrences ont été subsumées par cette catégorie, car elles structurent le champ sémantique de la campagne. [...]
[...] Ils doivent penser en toute chose au défendre la patrie, la Côte d'Ivoire dans le but de rehausser le développement de la Côte d'Ivoire, une fois de plus le développement que si elle n'est plus ou qu'elle soit sous le règne du FPI. Il faut éviter au maximum d'insulter de manière directe ou subtile ces concurrents car ce n'est pas très ingénieux de la part de ceux qui le font dans la mesure où car sans toutefois prendre partie, nous croyons que l'étique politique voudrait que chacun fasse sa campagne sans dénigré aucun autre parti politique même si cela devait se faire, il ne faudrait pas que se soit avec tant d'inconsidérations et de provocations. [...]
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