Récessions, reprises, dépression, croissance, stagnation, chômage keynésien, choc de demande, fluctuations d'évolution du PIB
Un cycle est une succession de récessions et de reprises caractérisant les fluctuations d'évolution du PIB.
Il peut y avoir plusieurs phases : récessions, dépression, croissance, stagnation ... Car à court terme le PIB varie mais à long terme il temps à être stable.
[...] Il faut mettre en place une politique dite Keynésienne. C'est une politique dite de relance de la demande. L'objectif final est de lutter contre le chômage. Pour atteindre cet objectif, on passe par un objectif intermédiaire qui permet d'atteindre l'objectif final. C'est-à-dire qu'il faut relancer la demande globale. La demande globale est la consommation des ménages, les investissements des entreprises et les dépenses publiques. Il existe plusieurs moyens d'actions qui permettent de relancer la demande. On peut augmenter les dépenses publiques en menant une politique de grands travaux publics (TGV, armements), en augmentant les fonctionnaires ou en augmentant les revenus de transferts (minimas sociaux, allocations). [...]
[...] Les individus ne veulent pas travailler au taux de salaire fixé. La situation de surchauffe est lorsque les moyens de productions sont utilisés au-delà de leur capacité. Mais cette situation conduit à une augmentation des salaires. Lorsque le chômage est faible, les salaires sont flexibles à la hausse. Les prix augmentent et de l'inflation apparait. Il faut éviter d'être en sous emploi et en surchauffe. Il faut essayer d'être au plein emploi. [...]
[...] Cycle économique et théories Qu'appelle-t-on un cycle? Succession de récessions et de reprises caractérisant les fluctuations d'évolution du PIB. Il peut y avoir plusieurs phases : récessions, dépression, croissance, stagnation . Car à court terme le PIB varie mais à long terme il temps à être stable. Qu'est-ce qu'un choc d'offre ? Qu'est-ce qu'un choc de demande ? Un choc est un élément extérieur qui vient déstabiliser l'équilibre. Il y a plusieurs types de chocs : un qui peut affecter l'offre et un qui peut affecter la demande. [...]
[...] Ils son rigides. La raison est que le travail à un prix et les salaires ne varient pas tous les jours. En cas de chocs dans ce cas là, le retour à l'équilibre passera par la variation des quantités produites et non la variation des prix. Dans l'approche Classique on raisonne en s'inscrivant dan s une logique à long terme. Or à long terme les prix sont flexibles. Par conséquent en cas de coc, le retour à l'équilibre se réalisera grâce à la variation des prix. [...]
[...] Or dans le modèle keynésien puisqu'on raisonne à court terme, les prix sont rigides alors l'équilibre ne peut pas se rétablir grâce à l'ajustement des prix et l'économie ne revient pas spontanément au plein emploi. Et comme les choses ne sont pas spontanées, pour revenir à l'équilibre il faut un soutien et donc il faut une intervention de l'État pour soutenir la demande. La grande différence entre les classiques et Keynes tient à la flexibilité des prix. Le modèle Keynésien s'inscrit dans le court terme. Or à court terme, les prix sont fixes et rigides. Ils varient très lentement. [...]
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