La croissance est l'augmentation soutenue pendant une période longue de la production d'un pays mesurée par le PIB à prix constant. Le 20e siècle apparaît exceptionnel au regard de la croissance : Trente glorieuses, la belle époque, les années folles et plus tard les années 1990 (surtout aux USA).
[...] Reagan ; ce qui fonctionne car permet une croissance sans inflation. A partir de 1993, inversion de la Policy Mix qui consiste à revenir à l'équilibre budgétaire et à une politique expansive de la FED (A. Greenspan). L'équilibre permet la baisse des taux d'intérêts à long terme ce qui est favorable à l'investissement et la politique de la FED consiste à distribuer assez largement des crédits tout en veillant à ce que l'inflation ne soit pas trop élevé. A la même époque, politique de taux d'intérêts élevés menée par la BCE pour limiter l'inflation (avec, notamment, le traité de Masstritch). [...]
[...] Dans l'étude de la croissance on se concentre sur le capital fixe, dont l'augmentation se fait par l'investissement (avec la FBCF). On remarque une forte augmentation du capital par travailleur ce qui reflète le caractère de plus en plus capitalistique de la production. Remarque sur le rôle du capital dans la croissance : la hausse du capital contribue directement à la croissance par l'accroissement des capacités de production et indirectement par l'incorporation du progrès technique. Le progrès technique Pendant longtemps, les économistes ont négligé le rôle du progrès technique dans la croissance (on liait la croissance à l'accumulation des facteurs de production). [...]
[...] Carré, Dubois et Malinvaud ont essayé d'affiner l'analyse en tenant en compte des transformations qualitatives des facteurs de production. Par exemple, pour le travail, ils tiennent compte du volume d'heures travaillées, le niveau de formation, de migration entre secteur, et pour le capital on tient compte du renouvellement du capital (mesuré par l'âge moyen des équipements). [...]
[...] La croissance Etats-Unis des années 1990 est basée sur l'endettement des ménages, ce qui explique le ralentissement en 2001. Ce qui est sur c'est qu'il y a des changements importants dans les modes de production. II. Les facteurs et les faits stylisés de la croissance 1. Volume et efficacité des facteurs de production Croissance extensive et croissance intensive Pour générer dans une économie une croissance durable, on peut augmenter la quantité de facteurs utilisés ou les combiner plus efficacement ou encore faire les deux. [...]
[...] Début, aussi de la consommation de masse (le nombre de voitures particulière en circulation a été multiplié par 15 de 1946 à 1975). Tous ces postes de consommation voient leur part augmenter dans la consommation des ménages, alors que la part des biens de subsistance recule (loi d'Engel). Allongement de la durée d'étude et hausse du nombre de disponibilité. Avec la retraite plus précoce et l'allongement du temps d'études, il y a un recul du temps de travails, donc plus de place pour les loisirs. Aussi chaque années on travail moins. [...]
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