Economie politique, théorie de l'échange, théorie de l'utilité marginale, fonction de la demande, création d'entreprise, macroéconomie
La loi de la rareté est la caractéristique fondamentale de l'économie, elle signifie que les besoins ou les désirs de l'Homme sont de loin supérieurs aux ressources existantes pour les satisfaire. De moyens principaux peuvent être utilisés pour réaliser la location des ressources, le premier moyen s'appuie sur une méthode centralisée dans laquelle de manière globale on affecte les ressources entre les différents agents de l'économie. La seconde méthode d'allocation des ressources dites décentralisée laisse le soin de la location à un système de prix libre c'est-à-dire au mécanisme de marché.
[...] Par ailleurs, le marché c'est aussi un processus qui vise à atteindre une coordination idéale entre l'offre et la demande, le marché est en perpétuel mouvement, il faut en permanence faire des efforts pour coordonner l'offre et la demande, on recherche toujours l'équilibre entre l'offre et la demande. La coordination n'est jamais parfaitement atteinte mais cela ne veut pas dire qu'il ne faille pas la chercher cette coordination. Les composantes du marché sont l'apprentissage progressif de l'inconnu par la correction successive d'erreurs inévitables. Le marché est aussi un processus de découverte qui génère des informations et des résultats dont les agents tout seul ne pourraient pas disposer, le marché crée de la connaissance collective. Section 1 : Analyse générale des marchés. [...]
[...] Le problème qui va se poser aux néoclassiques c'est celui de la mesure de la graduation de l'utilité, il y a une difficulté d'évaluer la quantité d'utilité est difficile de comparer les utilités (comparaison interpersonnelles des utilités) entre deux individus. Tout le monde n'a pas la même perception du produit (cigarette La perception diffère selon les individus d'où la différence est la difficulté de comparer les utilités entre deux individus. Et donc pour échapper à cette difficulté on va utiliser le mot préférence du consommateur. Il y a une distinction entre la préférence annoncée et la préférence révélée. [...]
[...] La consommation dépend de multiples facteurs, Du prix. Du revenu, pour Keynes c'est le montant du revenu qui va jouer le rôle essentiel dans la consommation. Il faut considérer le revenu de différentes manières, c'est-à-dire qu'il y a le revenu considéré pour un ménage donné, on peut considérer le revenu au niveau global c'est-à- dire au niveau de la Nation et ensuite il y a ce que Keynes appelle la répartition du revenu qui va avoir une influence sur le niveau de consommation. [...]
[...] Jevons et la théorie de l'échange. Cet auteur ne croit pas à la théorie anglaise de la valeur travail et il va utiliser les idées de Jérémy Bentan pour essayer de le démontrer, selon lui le travail ne peut pas être la cause de la valeur des biens parce que la dépense de travail/coût précède d'un long intervalle de temps du moment ou le bien est consommé. Jevons refuse l'idée selon laquelle le coût de production détermine le prix moyen d'un produit parce que le coût appartient au passé lorsque le produit se trouve sur le marché et donc au moment de la vente le coût n'intervient plus. [...]
[...] Donc, selon Keynes la vraie fonction de consommation aura plutôt cette forme là : INSERER GRAPHIQUE On considére que la fonction de consommation à forcément une origine positive. Cette fonction de consommation est croissante, Keynes dit que cette idée repose sur le fait que les individus sont disposés en règle générale et en moyenne a augmenter leur consommation lorsque leur revenus augmentent mais d'un montant inférieure. Et donc graphiquement, la proportion marginale à consommer se représente par la pente de la courbe représentant la fonction de consommation. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture