Physiocrates, néo-classiques, néo-libéral, keynésiens, Marx, Engels, Minsky et Mundell
Le courant libéral
Les physiocrates (XVIIIème siècle)
Selon eux, la société est composée de trois classes sociales : les travailleurs, les propriétaires et les artisans qualifiés. Seule l'activité agricole est productive alors que le droit de propriété est un droit naturel. Les richesses et la monnaie circulent entre classes. Les représentants de ce courant sont : Quesnay, Mirabeau, Condorcet, ils prônent la mise en place d'une politique économique libérale.
[...] Fiche culture générale : les principaux courants économiques Fiche synthétique reprenant les grands courants de pensée économiques du XVIIIème siècle à aujourd'hui. Le courant libéral I.1. Les physiocrates (XVIIIème siècle) Selon eux, la société est composée de trois classes sociales : les travailleurs, les propriétaires et les artisans qualifiés. Seule l'activité agricole est productive alors que le droit de propriété est un droit naturel. Les richesses et la monnaie circulent entre classes. Les représentants de ce courant sont : Quesnay, Mirabeau, Condorcet, ils prônent la mise en place d'une politique économique libérale. [...]
[...] Les néo keynésiens Minsky et Mundell représente le courant des néo-keynésiens. D'après eux l'état doit intervenir sur la demande en période de sous-emploi. En revanche la politique monétaire doit freiner la demande. III) Le courant marxiste Le courant marxiste, dont les principaux représentants sont Marx, Engels, Luxembourg et Boukharine, préconise l'abolition de la propriété privé et donne une importance accrue au rôle de l'état en tant que régulateur de l'activité économique. C'est à l'état de proposer une logique de planification de l'offre et de la demande. [...]
[...] Les néo-libéral (depuis 1930 Les chefs de files du courant néo libéral sont Friedman, Arrow et Allais. Pour eux l'intervention de l'état doit être réduite au minimum, celui-ci doit se contenter d'assumer ses fonctions régaliennes (sécurité, justice Le chômage trouve sa source dans les rigidités du marché du travail et les fluctuations de l'activité économique ne dépendent pas des variations de l'investissement mais de celle de l'offre de monnaie. II) Le courant Keynésien II.1. Les keynésiens Pour Keynes la somme des comportements individuels constitue des agrégats indissociables. L'économie de marché ne conduit pas spontanément à l'équilibre. [...]
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