Pour les libéraux, l'équilibre économique naît spontanément de la compétition des intérêts privés. Les hommes ont des comportements rationnels et l'Etat ne doit pas intervenir dans l'économie (...)
[...] Donc le salaire augmente et le profit baisse. Les conséquences sont qu'étant donné que la population a augmenté, les grands propriétaires gagnent plus et les salariés ont un salaire qui a augmenté mais le profit a baissé donc il y a moins d'argent pour assurer la croissance et ainsi le capitalisme ne va tenter d'investir. On va donc avoir une stabilité et un équilibre puisqu'il n'y a plus de croissance. La solution pour que le prix du travail n'augmente pas, c'est qu'il faut importer le blé acheté moins cher et donc la rente diminue, les coûts de production diminuent et le profit augmente. [...]
[...] Celle-ci et les machines forment les gains de productivité. Il croit en l'organisation spontanée de la vie économique par libre concurrence des individus et pour lui l'individualisme est un bien collectif (concept de la main invisible). - Le commerce extérieur. L'apologie du libre échange, la théorie des avantages absolus. Si un produit coûte moins cher à l'étranger, il vaut mieux l'acheter à l'étranger que le produire nous-mêmes. III. Le courant classique (dont Adam Smith) Ce sont des économistes qui ont approfondi ou vulgariser les idées d'Adam Smith. [...]
[...] Pour lui, il y a d'autres facteurs qui entrent en jeu. Pour lui, le travail va créer un salaire, le capital va engendrer un profit, un intérêt et la terre va créer une rente. Pour lui ces trois facteurs sont liés entre eux. Say va s'écarter du courant classique dominant. Sa seconde théorie est celle de la loi des débouchés. Pour lui les produits s'échangent contre des produits Il dit que c'est la production qui ouvre des débouchés aux produits en supposant que la monnaie ne joue pas de rôle dans les échanges. [...]
[...] Histoire de la pensée économique Introduction La pensée économique commence au 18ème siècle car avant il n'y avait pas d'explication globale de l'économie. Auparavant on retrouve deux périodes : - De l'Antiquité à la Renaissance, la pensée économique est liée à la religion. Le problème économique est le juste prix d'un bien. Il y a interdiction du prêt à l'intérêt. - La Renaissance, c'est l'émancipation de la religion : le mercantilisme Du 16ème au 18ème siècle, la pensée diffère de celle du Moyen-Age. [...]
[...] Pour lui la pauvreté des uns fait la richesse des autres. Ricardo (1772-1823) : il s'intéresse tout d'abord à la théorie de la valeur d'un bien. Il reprend la thèse de Smith partant du principe que le travail est le fondement de la valeur d'un bien. Il va y avoir deux types de biens : les biens non reproductibles comme les œuvres d'art ou les diamants. Leur valeur n'a pas de lien avec la quantité de travail fournie. Et on aura également les biens reproductibles qui ont une valeur directement liée au travail fourni. [...]
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