marché du travail, taux de chômage, capitaliste, production, productivité, courbe de Beveridge, courbe de salaire, cours
Chômeurs BIT : sans emploi // immédiatement disponible pour travailler // recherche d'emploi.
L'INSEE publie 2 chiffres : métropole seule // France entière avec les DOM -> catégories A, B et C.
Catégorie A : demandeurs d'emploi n'ayant pas du tout travaillé le dernier mois -> proche du BIT.
Catégories B+C : on ajoute ceux qui ont eu une activité réduite dans le mois (+ ou - 78 heures).
Halo du chômage : sans emploi // souhaiter travailler // ne pas être disponible dans les 15 jours // ne pas avoir fait de démarche de recherche d'emplois depuis 4 semaines.
Sous-emploi : temps partiel subi alors qu'elles veulent travailler plus // personnes qui ont travaillé moins que prévu involontairement (chômage technique, mauvais temps, réduction saisonnière...).
[...] Salaire au-dessus de la courbe de profit ( salaires supérieurs au coût d'opportunité d'aller sur un autre marché ( faible incitation à investir ( diminution stock de capital ( nombre réduit d'emplois. Salaire en dessous de la courbe de profit ( salaires inférieurs au coût d'opportunité d'aller sur un autre marché ( forte incitation à investir ( augmentation stock capital ( nombre accru d'emplois. Courbe du taux de chômage : le chômage se détermine par les objectifs des firmes et des salariés. Point d'intersection A : courbe des salaires compatible avec la maximisation des entreprises. [...]
[...] Modèle Wage Curve Profit Curve : courbe des Profits et des Salaires. Si la courbe de salaires se déplace vers le haut sans que le courbe des profits n'évolue, + chômage. Modèle Wage Curve Profit Curve ( Institutions qui augmentent la courbe de salaire : à terme, si la courbe de profit reste inchangée, le chômage augmente et le salaire revient à son niveau initial. Mais certaines institutions peuvent être favorables : syndicats, s'ils prennent en compte l'intérêt de tous les travailleurs et les contraintes de l'entreprise, et le courbe de salaire reste au niveau initial. [...]
[...] Hausse du salaire ( hausse de la rente ( la perte de l'emploi coûterait alors davantage ( hausse de l'effort : on a donc une relation positive entre salaire et effort fourni. Si le salaire proposé est en dessous du salaire de réserve, l'effort est nul, car l'employé part. Rente du travailleur sans allocation chômage Rente du travailleur avec allocation chômage : augmentation du coût d'opportunité du travail Relation croissante entre salaire et effort : plus de salaire incite à plus d'effort. [...]
[...] Problématique pour les politiques publiques : trouver un niveau d'allocation protecteur et incitatif. Une grande partie des salaires est fixée par des négociations collectives. Forte hétérogénéité des taux de syndicalisation entre pays : en France 80% en Suède. La syndicalisation déplace la courbe de salaire vers le haut: la négociation fait augmenter les salaires. Mais les syndicats, sans prendre en compte les réglementations, peuvent augmenter le chômage. En effet, les salaires après négociations sont trop élevés et les firmes doivent licencier : + chômage. [...]
[...] Relation décroissante entre le nombre d'emplois vacants (offre de travail) et le taux de chômage. La courbe de Beveridge mesure l'efficacité du processus de réallocation ( pour un même nombre d'emplois vacants, chômage plus ou moins élevé. Plus la courbe de Beveridge se déplace vers la gauche, plus le marché est efficace pour réallouer ( pour un même nombre d'emplois vacants, le taux de chômage sera plus faible. L'efficacité de la réallocation dépend de l'adéquation entre offreurs et demandeurs, des institutions et de l'imperfection de l'information ( plus facile quand il y a de bons réseaux et institutions. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture