macroéconomie, histoire du capitalisme, Grande Dépression, 30 glorieuses, âge d'or, crise de 1929, stagflation, crise financière, cours
Histoire de l'économie moderne liée à des cycles et des politiques macroéconomiques.
Malgré plusieurs opportunités d'innovation, la faiblesse de la demande agrégée, due en grande partie aux erreurs de politiques macroéconomiques, a prolongé la Grande Dépression des années 30.
Par contraste, les opportunités d'innovations, soutenues par des politiques de la demande adéquate et des accords salariaux ont ouvert une page d'or du capitalisme après-guerre (30G).
[...] Grande modération : taux d'inflation et de croissance faible. Il suffisait pour les gouvernements de fixer un taux d'intérêt modéré pour la politique monétaire. Au fur et à mesure on a créé une déflagration ( crise financière avec l'inattention : boom crédits. La crise financière Outils : modèles des bulles spéculatives, de l'accélérateur financier et de l'effet de levier ( étudier et comprendre la crise financière. Prémices de crise financière : - Hausse de l'endettement des ménages PIB) et secteur financier. - Hausse des prix de l'immobilier. [...]
[...] Après la 2°GM : déplacement vers le haut de la courbe de profit grâce aux innovations malgré le fait que le gouvernement prenne de plus en plus de place en redistribuant les richesses. Il y a un renforcement des syndicats : hausse des salaires. Le salaire réel progresse très faiblement, mais renforcement de la productivité. La fin de l'âge d'or Il y a eu une fin à l'âge d'or : épuisement des innovations choc pétrolier : hausse coût du travail. Années 1970 : baisse de la courbe de profit ( baisse de la rentabilité des entreprises. À partir de 1973, le partage de la valeur ajoutée devient largement bénéficiaire aux salariés. [...]
[...] Mais fin des accords salariaux d'après-guerre : hausse des revendications salariales. Les revendications des travailleurs et des firmes sont incompatibles : nouveau point d'équilibre, avec une courbe de profit plus basse ( beaucoup plus de chômage et un peu moins de salaire réel. Le choc d'offre de 1973 a aussi créé une instabilité sur la courbe de Phillips : hausse de l'inflation. Il faut donc une augmentation du taux de chômage pour atteindre le NAIRU. Il s'agit d'un choc d'offre : diminution de la rentabilité. [...]
[...] Politique d'austérité en Europe à partir de 2010, sous la menace de la crise des dettes souveraines. Contraction budgétaire depuis 2008 en Europe : points de PIB + 3 points taux de chômage. Conclusion : les leçons de l'histoire Qui ne connaît pas l'histoire est condamné à la revivre. Grande Dépression : - On pensait que les marchés se corrigeaient seuls. - Mais chute de la demande agrégée avec chômage persistant. - Les économistes apprennent que la demande agrégée peut être stabilisée par des politiques publiques ( Keynes. [...]
[...] - Hausse des inégalités. Bulle des prix immobiliers : accélérateur financier ( cercle vertueux : boom des prix de l'immobilier ( hausse de la valeur du collatéral ( hausse des emprunts des ménages ( hausse achats logement ( hausse des prix de l'immobilier . Effet de levier des ménages, surtout les plus pauvres avec les subprimes, et des banques. Éclatement de la bulle immobilière : passage de A à car on ne peut plus compter les logements comme collatéral ( anticipation de baisse des prix et baisse de la demande. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture