macroéconomie, environnement, problèmes environnementaux, biodiversité, pollution, taxation, cours
Consommation et production : déchets et pollution -> on approche des limites.
L'activité économique repose sur des énergies limitées : rien ne se crée, tout se transforme.
Sources d'énergies de moins en moins importantes et peu faciles à utiliser.
L'extraction des ressources naturelles a cru très fortement depuis les 1980's avec pays émergents.
Les pays en développement dénoncent les mesures prises par les grandes puissances sur la réduction des GES car ces pays décisionnaires en ont profité pour leur croissance dans le passé.
[...] Théorème de Coase : même en cas de défaillance du marché, l'intervention de l'Etat ne doit pas toujours être automatique. Avec cet exemple : on a perdu en utilité avec la régulation. Taxation Il est difficile pour l'Etat de contrôler l'activité de toutes les unités de production et d'agir sur les quantités ( plus facile d'agir sur les prix en jouant sur les incitations à travers des taxes. Taxes environnementales : taxes pigouviennes ( taxes sur les émissions. Il y a aussi des subventions pour la dépollution : on joue sur les prix, pas sur les quantités. [...]
[...] Le bien-être dépend de la qualité de l'environnement dans lequel nous vivons. Nouvelle approche: croissance verte, proposée par Stern( la transition énergétique est une chance incroyable car permet de nouvelles innovations. La productivité des ressources naturelles enrichit notre croissance, notre environnement et l'emploi. II) Economie des problèmes environnementaux Climat et externalités Ressources naturelles : 2 caractéristiques précises ( bien public soumises à des externalités. G. Hardin : tragédie des biens communs ( surutilisation des ressources : besoin gestion collective. Abscisses : quantité de production qui émet de la pollution. [...]
[...] - Non rivalité : + protection pour un pays ne signifie pas moins de protection pour un autre. Problème de l'action collective et du passager clandestin : impossible d'exclure quelqu'un des bénéfices de la protection climatique même si aucun prix n'est payé. Stratégie optimale d'attente : on espère que le pays voisin va payer pour ce bien public pour profiter des bénéfices climatiques sans avoir à en supporter les coûts. Sans accord cadre, la situation d'équilibre est l'absence d'investissement de chacun dans la protection climatique : passagers clandestins. [...]
[...] Décision de réduire les émissions à un niveau Q choisi en analysant les coûts et bénéfices. En présence d'un seul pollueur et en information parfaite, cet objectif peut être atteint de la même façon par la régulation ou par une taxe pigouvienne. La régulation oblige le pollueur à prendre les décisions nécessaires pour n'émettre que la quantité Q la taxe T par tonne d'émissions l'oblige à ne produire qu'une quantité Q d'émissions (coercition). Taxes potentiellement plus incitatives que la régulation : elles minimisent les coûts de dépollution. [...]
[...] Personne ne coopère et on se retrouve dans une situation où tous polluent. Coopération conditionnelle : les êtres humains ne sont ni complètement égoïstes ni altruistes béats. Coopérateur conditionnel avec le jeu du bien public : à la seconde période, ceux qui ont investi à la première phase voient que certains n'ont pas contribué : l'investissement décroît jusqu'à extinction. Il faut que tout le monde contribue pour réduire les externalités négatives efficacement. Arbitrage entre consommation et qualité environnementale Arbitrage ( abscisses : qualité environnement ordonnées : consommation. [...]
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