En 2008, le PIB de la France était de 1 950,1 milliards d'euros ; la FBCF s'élevait à 427,2 milliards d'euros. Donc l'investissement représentait environ 20% du PIB.
La demande est la quantité d'un certain produit demandé par les acheteurs pour un prix donné.
L'investissement, ou "Formation brute de capital fixe" (FBCF) est définie comme la valeur des biens durables acquis par les unités de production pour être utilisés pendant au moins un an dans leur processus de production. Acquisition par l'entreprise de moyens de production qui viennent remplacer et/ou accroître le capital productif. Il s'agit donc de capitale fixe, de machine (...)
[...] On peut considérer qu'un taux d'intérêt débiteur élevé, va renchérir le cout de financement pour l'investissement, l'entreprise va considérer que le prix à payer est trop important et que le profit escompté de l'investissement sera trop faible. De ce fait elle est amenée à renoncer à son investissement. Il faut aussi tenir compte du niveau des taux d'intérêts créditeurs c'est à dire la rémunération d'une somme d'argent placée. En effet, le taux d'intérêt créditeur peut jouer un autre rôle, il peut guider le choix des entreprises dans l'utilisation de leur capital propre. [...]
[...] Acquisition par l'entreprise de moyens de production qui viennent remplacer et/ou accroître le capital productif. Il s'agit donc de capitale fixe, de machine. Nous allons nous demander si l'évolution de la demande est le seul déterminant de l'investissement? Pour répondre à se sujet dans un premier temps nous allons voir que l'évolution de la demande est un élément essentiel concernant la décision d'investir, et dans un second temps qu'il existe d'autres déterminants. La demande à un effet d'entrainement sur l'investissement, c'est le principe d'accélérateur. [...]
[...] Pour pallier à se manque d'autofinancement et tenter de redresser une entreprise en difficulté, on peut avoir recours au licenciement des salariés ou à la baisse des salaires, ou aussi pour être plus concurrentiel. En effet, toute tentative de baisse des salaires tentative de baisse des salaires en période de crise à des effets micro-économique positive mais au niveau macro-économique cela à une conséquence négative, celle de réduire les débouchés des entreprises puisque les ménages ayant moins de pouvoir d'achat , consommeront mois. Ainsi, les effets des couts de production jouent également sur l'investissement. Donc si l'entreprise à moins de demande, il y aura moins d'investissement mais aussi une augmentation du chômage. [...]
[...] La rentabilité économique peut être décomposée comme le produit de trois termes : le taux de profit qui rapporte la mesure du profit à la valeur ajoutée, la productivité du capital, et l'inverse du prix relatif de l'investissement. Toute baisse de la part des profits dans la valeur ajoutée ou de la productivité du capital diminue la rentabilité de l'investissement. Par contre, toute baisse du prix relatif de l'investissement augmente la rentabilité. Les déterminants principaux à la décision d'investir sont l'étude de marché, donc il faut connaître la demande. La concurrence car pour être concurrentiel il faut baisser les coûts de production (investissement de productivité). [...]
[...] Et donc le financement de l'investissement. Mais aussi la rentabilité de l'investissement, car l'investissement sera décidé si on estime qu'il sera rentable, donc les entreprises n'investiront pas si elles sont dans un contexte d'incertitude. Peut on dire que l'investissement à des conséquences sur l‘offre et la demande? [...]
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