Le libéralisme économique est une école de pensée, née au Siècle des Lumières, qui estime que les libertés économiques sont nécessaires en matière économique et que l'intervention de l'État doit y être aussi limitée que possible. Les partisans du libéralisme économique se rangent en deux grandes familles : les classiques libéraux et néo-classiques.
Le terme « classique » désigne une école d'économistes fondateurs du courant libéral dont les principaux auteurs sont Adam Smith, Jean-Baptiste Say et David Ricardo. On dit de l'économie classique qu'elle est dichotomique, c'est-à-dire qu'elle repose sur une séparation entre les phénomènes réels et les phénomènes monétaires.
[...] Le libéralisme économique est une école de pensée, née au siècle des Lumières, qui estime que les libertés économiques sont nécessaires en matière économique et que l'intervention de l'État doit y être aussi limitée que possible. Les partisans du libéralisme économique se rangent en deux grandes familles : les classiques libéraux et néo-classiques.Le terme classique désigne une école d'économistes fondateurs du courant libéral dont les principaux auteurs sont Adam Smith, Jean-Baptiste Say et David Ricardo. On dit de l'économie classique qu'elle est dichotomique, c'est-à- dire qu'elle repose sur une séparation entre les phénomènes réels et les phénomènes monétaires. Jean-Baptiste Say a inventé la loi des débouchés. [...]
[...] Ainsi pour les libéralistes, la solution au chômage est évidente. Il faut baisser le salaire réel afin qu'il atteigne le salaire naturel. Ainsi, il n'y aurait plus de chômage volontaire. Pour Keynes, la baisse du salaire réel n'aurait pas d'effet sur le chômage volontaire. La baisse des salaires réels entraînerait une hausse du chômage, mais involontaire, car en réduisant la consommation des ménages, elle diminuerait la demande effective (car le principal facteur objectif de la propension à consommer est le revenu). [...]
[...] Le chômage serait donc quelque chose de volontaire Pour les économistes classiques, il faut que certaines théories soient appliquées afin d'obtenir une économie optimale. Voici quelques théories, influençant sur la vision classicisme du chômage : - L'État ne doit exercer aucune action sur l'économie - Les salariés doivent être payés par un salaire naturel (c'est le salaire qui assure l'équilibre : la survie et la reproduction des salariés) - La présence d'investissement dans la production industrielle Ainsi, la production de richesse serait positive pour l'humanité et ne pourrait rencontrer d'obstacle. [...]
[...] Pour Keynes, l'État a un rôle à jouer dans la régulation du circuit économique. La demande "effective " est la demande anticipée par les entreprises. C'est cette demande qui détermine le niveau de production et ainsi le niveau de l'emploi. Or, le pessimisme des entrepreneurs peut les conduire à sous- estimer la demande, d'où un équilibre de sous-emploi. On parle d'équilibre de sous-emploi pour caractériser ces situations où la demande effective est insuffisante pour assurer le plein emploi. L'emploi dépend de la production, qui dépend de la demande effective, qui dépend de l'emploi. [...]
[...] Dans le modèle néoclassique d'une économie concurrentielle, le chômage est aussi décrit comme volontaire Le chômeur fait alors un arbitrage entre les avantages du travail et les désavantages et décide alors volontairement de rester sans emploi. Le jeu de la concurrence est censé faire varier les salaires à la hausse ou à la baisse de sorte que tout individu offrant du travail doit finir par trouver une entreprise pour l'embaucher à une juste rémunération, c'est-à-dire selon la richesse qu'il produit. Le keynésianisme est une école de pensée économique fondée par l'économiste britannique John Maynard Keynes. Pour J. M. [...]
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