capitalisme, Socialisme Anglo-saxon, principes Keynésiens, crise des Subprimes, renflouement de la dette, société d'hyper-consommation
Le Socialisme Anglo-saxon débute à la fin des 30 glorieuses par le consensus de Washington, dirigé par Ronald Reagan et Margareth Tatcher, respectivement président des États-Unis et de l'Angleterre.
Selon les Anglo-saxons, les principes Keynésiens de base ne sont plus valables, il faut passer a autre chose. C'est à dire que désormais, l'État ne doit plus intervenir dans l'économie du Pays, et qu'il a par exemple un rôle exclusivement sécuritaire, c'est a dire maintenir la paix dans son territoire et a l'étranger.
[...] Puisque l'État est un acteur a part entière de l'économie, on peut donc prendre des décisions sur le long terme, contrairement au capitalisme anglo-saxon. L'État n'intervient pas directement au sein des entreprises, mais il va intervenir dans l'égalisation des conditions de vie / travail / concurrence. Il va donc y avoir une co-gestion des entreprises entre patrons et salariés. Il y a des syndicats forts ( notamment dans les pays Scandinaves. Les banques vont également jouer un rôle primordial dans le financement des entreprises, elles sont au cœur des prises de décisions économiques, et elles permettent aux entreprises de raisonner sur le moyen et le long terme. [...]
[...] On parle de ici de victoire du capitalisme libéral car les occidentaux y adhèrent et que dans le même temps, la chute du mur de Berlin prouve que le capitalisme est bel et bien le seul modèle valable actuellement. Aujourd'hui, rare sont les personnes qui conçoivent un autre modèle que le capitalisme. Une victoire idéologique est donc bel et bien a partir du moment ou on ne peut pas concevoir que quelque chose d'autre puisse exister. Cette idéologie est en partie du a l'approfondissement de la mondialisation donc de la concurrence et donc de la liberté des marchés. Mais, durant leurs mandats, Tony Blair et Bill Clinton ont permis d'aménager le capitalisme et de le rendre moins libéral. [...]
[...] Il y a une tendance a ne pas développer le capital humain ( Formation en cours de carrière. ) puisqu'il y a la sécurité de l'emploi et les prestations sociales ( Chômage, vieillesse etc . [...]
[...] En période de prospérité, les recettes excédentaires sont alloués au renflouement de la dette. Les critères qui expliquent cette réussite sont : La flexibilité du travail chez les libéraux est stricte. En effet, le chômage est faible car sir quelqu'un tombe au chômage, il ne percevra que 40% de son salaire et cela pendant uniquement 24 semaines ( 6 mois ce qui pousse donc la population lors de la perte d'un emploi, à vite en retrouver un autre. Les entreprises anglo-saxonnes ont une grande capacité d'innovation, elles se sont donc tournées vers les industries de pointe au détriment des entreprises traditionnelles. [...]
[...] En France, on parle beaucoup de la sécurité sociale, mais aux E.-U., le filet de sécurité c'est l'emploi Aux E.-U. les dépenses publiques sont faibles, certes les classes aisées n'en souffrent pas énormément, pas les classes modestes en souffrent beaucoup. Pour tout ce qui concerne les allocations vieillesse et chômage, il vaux mieux les prendre dans des organismes privés. La corrélation entre la situation des enfants et des parents est très liée. La situation des enfants s'explique généralement par la situation des parents. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture