Keynes, tradition libérale, crise de 1929, théories économiques, dépenses publiques
Il est nécessaire d'y faire référence pour comprendre les finances publiques car pour les deux principales théories soit il convient de les exclure soit de les privilégier.
L'interventionnisme n'est pas une doctrine théorique, c'est plutôt le constat à un moment donné de la faillite de trouver quelque chose de mieux.
Keynes est né en 1883 et décède en 1946, il a été gouverneur de la banque d'Angleterre et a participé politiquement à essayer de sortir son pays de la crise de 1929. Il va proposer une analyse nouvelle des crises qui secouent son pays et les pays développés. Keynes va bâtir son schéma explicatif sur ce qu'on appellera ensuite la macroanalyse
[...] Il dit quand le système s'en approche, il vaut mieux ne rien faire mais quand on passe à l'extérieur du corridor alors il faut opter pour une politique active de type keynésien Section 2 : La tradition libérale : Les classiques Les premiers qui ont réalisé ceux sont des physiocrates comme Quesnay, a ce moment là les physiocrates c'est un pouvoir étatique très dirigiste dans un contexte sociale, l'émergence de la bourgeoisie. L'idée générale, c'est l'individu qui va primer sur l'Etat car l'individu sait ce qui est bon pour lui et par addition ce qui est bon pour tous. [...]
[...] Les grandes théories économiques (effets présumés aux dépenses publiques) Il est nécessaire d'y faire référence pour comprendre les finances publiques car pour les deux principales théories soit il convient de les exclure ou de les privilégier. Section 1 : Keynes et l'interventionnisme L'interventionnisme n'est pas une doctrine théorique c'est plutôt le constat à un moment donnée de la faillite de prouver quelque chose de mieux. Le rôle pratique et théorique de Keynes Keynes est né en 1883 et décède en 1946, il a été gouverneur de la banque d'Angleterre et a participé politiquement à essayer de sortir son pays de la crise de 1929. [...]
[...] Ce renouveau néolibéral s'appuie dans les années 80 et en particulier aux EU et en Angleterre. Ce mouvement a inspiré la plupart des Etats développé y compris la Fr. on peut dire que dans cette décennie, la plupart des pays développé avoué que la théorie keynésienne était au bout de souffre. Dans cette décennie c'est donc le début du désengagement de l'Etat c'est-à-dire la vague des dénationalisations des grandes entreprises publiques, la réduction voire la disparition des aides d'Etat aux entreprises publiques et même privées, c'est ce que l'on qualifie de vague de déréglementation financière. [...]
[...] Les théories néolibérales s'appuient sur l'échec du modèle keynésienne donc une politique interventionniste. Des auteurs critiquent ce modèle comme Friedman, Rothdard et Hayek. L'Etat providence par son gigantisme enferme l'individu dans un carcan de réglementations qui empêche toute initiative individuelle, c'est le soubassement du néolibéralisme. Pour les néolibéraux techniquement le support de ce carcan ce sont les impôts ils disent que les prélèvements obligatoires dévorent le bénéfice. Les libéraux remettent à jour un modèle traditionnel qui est de réduire les dépenses publiques, réduire les impôts, privilégier l'offre plutôt que la dépense et tendre à l'équilibre budgétaire. [...]
[...] De nombreux économistes continuent les théories libérales : Ricardo, Malthus, Say. Début du 20ème, on voit naitre une nouvelle école libérale qui s'appuie sur des modèles mathématique. Les idées : * L'action de l'Etat est réduite au rôle de gendarme, il peut avoir une totalement neutralité de l'Etat au niveau économique (impôts ne doivent couvrir que les dépenses publiques minimums) ; * L'équilibre de l'Etat ; * Le rôle du commerce extérieur (seule exception libéralisme à l'intervention de l'Etat par l'intermédiaire des drts de douane. [...]
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