Depuis la fin des années soixante-dix, l'Europe a connu un ralentissement de sa croissance économique et notamment, la crise du taylorisme et du fordisme. Cela a entraîné la transformation de l'organisation du travail et donc le changement des conditions de travail.
Une organisation du travail permet de structurer le travail réalisé par les salariés, ce sont les grandes directives. Celle-ci a un effet sur les conditions de travail, l'autonomie, les responsabilités, les horaires ou encore le rythme de travail des salariés (...)
[...] Les transformations de l'organisation du travail depuis la fin des Trente Glorieuses a permis de mettre en avant la dimension humaine avec la responsabilisation des salariés. Cette réorganisation a eu des effets sur les conditions de travail qui se révèlent moins physiques mais de plus en plus complexes. De plus, le Taylorisme et le Fordisme n'ont pas disparu du monde du travail. Ces organisation de travail sont ancrées dans l'économie mondiale est ne sont donc pas appelées à disparaître. Il serait judicieux de se demander s'il pourrait exister un organisation juste, sans points négatifs ou s'il ne serait pas mieux de chercher une organisation qui nécessiterait le moins de désavantages possibles. [...]
[...] Cela a entraîné la transformation de l'organisation du travail et donc le changement des conditions de travail. Une organisation du travail permet de structurer le travail réalisé par les salariés, ce sont les grandes directives. Celle-ci a un effet sur les conditions de travail, l'autonomie, les responsabilités, les horaires ou encore le rythme de travail des salariés. Nous pouvons alors nous demander quelles transformations a subit l'organisation du travail depuis la fin des Trente Glorieuses et quels sont les effets sur les conditions de travail des salariés. [...]
[...] Dans cette seconde partie, nous verrons les effets positifs de cette réorganisation sur les conditions de travail mais également ses points négatifs. Les contestations des salariés à propos du manque de considération de la part du Fordisme ont été satisfaites. En effet, toutes les compétences humaines sont requises dans la nouvelle organisation du travail. Les salariés doivent réfléchir à leur action, ils sont autonomes et prennent des décisions. De plus, les salariés sont polyvalents , ils peuvent changer de poste, leur activité est donc moins monotone. [...]
[...] Tout d'abord, les conditions de travail nées du Taylorisme n'ont pas disparu puisqu'il existe toujours des entreprises qui travaille à la chaîne. De plus, l'autonomie conférait aux salariés n'est pas égale pour tous. Les cadres ont une autonomie dans leur travail bien plus importante que celle des ouvriers. La nouvelle organisation du travail entraîne aussi de la précarité avec la flexibilité externe. En fonction de ses besoins, l'entreprise a recours à des intérimaires ce qui va faire augmenter le nombre de contrat à durée déterminée. Enfin, les nouvelles technologies n'ont pas que des effets positifs sur les conditions de travail. [...]
[...] La nouvelle organisation du travail marque bien la fin du Taylorisme de par sa flexibilité et surtout par l'utilisation de toutes les compétences humaines. De plus, celle-ci permet à une entreprise d'améliorer sa productivité, surtout grâce aux différentes formes de flexibilités. Par exemple, la flexibilité interne permet de déplacer les salariés dans les différents postes de l'entreprise en fonction de ses besoins. Les nouvelles technologies de l'information et de la communication ont permis ces changements organisationnels, le travail est différent. [...]
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