A partir du 16ème siècle, les mercantilistes ont une pensée de l'économie sommaire consistant à accumuler les métaux précieux par l'exportation (Colbert). Les physiocrates eux ont une pensée plus élaborée, ce sont les premiers qui ont pensé l'économie comme un circuit et pour eux l'agriculture est créatrice de richesse (...)
[...] Il développe le concept de la main invisible et développe le libre échange. Malthus (18ème siècle), publie essai sur le principe de population à partir duquel on créera l'adjectif malthusien. D'après lui, la population augmente plus vite que les ressources alimentaires, ce qui donnera une situation où il faudra supprimer l'excédent de population en limitant les naissances et limiter l'aide aux pauvres. David Ricardo (19ème siècle), va montrer en quoi les pays ont intérêt à échanger avec l'international. D-L'école classique française Jean baptiste Say est connu pour sa loi des débouchés. [...]
[...] Les auteurs de l'école classique sont considérés comme les fondateurs de la science économique. A partir du 16ème siècle, la naissance d'une réflexion économique à part entière : Les mercantilistes, Les physiocrates, L'école classique A-En quoi consiste la pensée libérale La pensée libérale s'intéresse aux individus qui vont être motivés par la recherche de meurs intérêts personnels, on parle d'homoeconomicus (=homme économique). La démarche classique est microéconomique, s'intéresse aux individus, le marché va faire la synthèse de ses actions individuelles. [...]
[...] Le jeu du multiplicateur et de l'accélérateur doit stimuler la croissance. Les politiques keynésiennes ont été appliquées dans les pays occidentaux à partir des années 40. 2-Les limites au modèle keynésien Le modèle keynésien ne fonctionne qu'en économie fermée, car le mécanisme de relance ne fonctionne qu'en économie nationale. La consommation globale, car la consommation dépend de facteurs économiques et psychosociologiques qui ne sont pas toujours facilement identifiables, ni maîtrisables. L'analyse keynésienne est macroéconomique, elle ne prend pas en compte un grand nombre de phénomène qui ne peuvent étudier par analyse macroéconomique. [...]
[...] Il écrit deux ouvrages : le capital le manifeste du parti communiste Marx va construire son analyse sur le constat d'une société marquée par des conditions de travail terrible, sa théorie est d'analyser en terme de rapport de pouvoir entre les classes (luttes des classes) : la valeur centrale dans la société est le travail et c'est le travail qui va fonder la valeur des biens. Avec sa théorie de la plus value, il explique qu'un travailleur va produire 100 et sera payé 80 donc les 20 sont le profit du capitalisme (=exploitation). Donc le travail est toujours payé en dessous de sa valeur par les capitalistes qui sont propriétaires des moyens de production pour qu'il n'y est plus d'exploitation, mais pas de propriété collective des moyens de consommation. [...]
[...] Au final, ils cherchent à établir une théorie de la valeur, ils arriveront à définir que la valeur se fonde sur la rareté des biens qui est mesuré, on parle du concept d'utilité marginale C'est une fonction décroissante donc plus un bien est abondant, plus son utilité marginale ou sa valeur est faible. Symétriquement, plus un bien est rare et sa valeur est élevée. Pour comparer avec les classiques, la valeur dépend de l'usage. II-L'approche keynésienne Keynes né en 1883 à Cambridge. Il publia la théorie générale de l'emploi de l'intérêt et de la monnaie en 1936. Il mourut en 1946. Il aura fait fortune en bourse d'où ces principes boursiers. [...]
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