Synthèse sur la théorie néo-classique à travers l'apport de Jevons, l'analyse de la valeur chez les marginalistes, le tableau de Stackelberg et le schéma keynésien.
[...] Keynes demande à l'état d'intervenir pour hisser la demande effective. Il faut agir sur l'investissement, en demandant à l'état de lancer des offres publiques pour stimuler l'investissement. Les moyens d'actions efficaces et les politiques keynésiennes pour agir sur la demande : - la politique budgétaire ; elle agit sur la demande autonome. Pour Keynes il y a des déficits publics légitimes car ils s'apparentent à une avance qui stimulera la production donc le revenus des ménages et donc plus de recettes pour l'état, le déficit est comblé. [...]
[...] Il écrit en 1918 la Théorie de la monnaie. Il vise à maintenir une liquidité importante, il condamne le traité de Versailles qui impose des réparations à l'Allemagne ce qui entraînera une manque de liquidité importante pour l'Allemagne ce qui entraînera une chute grave de l'économie et des problèmes sociaux et politiques. Sa grande œuvre est la Théorie générale sur l'emploi, le taux d'intérêt et la monnaie parue en 1936. C'est une œuvre pionnière, fondatrice qui inspirera beaucoup de pays. [...]
[...] Pour Jevons la valeur travail n'est pas fondée. L'analyse de la valeur chez les marginalistes L‘utilité est fonction décroissante de la quantité produite ou consommée. L'utilité marginale est donc la valeur des biens. Gary Becker est un néoclassique. La pensée néoclassique reprend la théorie marginaliste pour expliquer les fonctions de l'offre et de la demande. La fonction de demande dépend de la satisfaction antérieure et de la contrainte budgétaire. La fonction d'offre est déterminée par les capacités techniques et les contraintes budgétaires. [...]
[...] L'école néoclassique est donc nuancée. Le tableau de Stackelberg La concurrence pure et parfaite dépend de : -l'atomicité de l'offre - la libre circulation du travail et du capital - homogénéité des prix e et services - liberté de l'information La concurrence parfaite : une drôle de concurrence ! : Le marché est-il susceptible d'aboutir à un optimum ? II/ John Maynard Keynes (1883-1946) Keynes est un libéral, un capitaliste mais les keynésianismes pensent que le marché doit être régulé ce qui ne signifie pas qu'il était socialiste. [...]
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