Le consommateur va se tourner vers le panier (biens et services) qui a le plus d'intérêts pour lui.
La quantité et le prix du panier sont des contraintes pour le consommateur autant que le fait de devoir tenir compte de son revenu.
Si le prix d'un bien augmente, il y a moins de panier possible. Les quantités demandées sur le marché sont fonction décroissante du prix.
La demande est dite fonction décroissante du prix (...)
[...] Il est toujours possible de trouver du travail à condition d'accepter un salaire plus bas que les autres. Le chômage est donc volontaire pour les néo-classiques. L'Etat ne doit pas intervenir sur le marché du travail. Aujourd'hui, les n »o-classiques seraient contre le SMIC (salaire minimum interprofessionnel de croissance) car c'est un salaire minimum et donc aucune négociation n'est possible. IV. L'interdépendance des marchés Léon Walras a montré que l'équilibre général est possible ainsi que l'interdépendance entre tous les marchés. [...]
[...] Celui-ci est semblable au libéralisme classique mais une démonstration scientifique est apportée. On parle de rationalité des individus. Ce courant est à l'origine de la démarche microéconomique. La microéconomie permet d'expliquer les phénomènes économiques à partir des comportements individuels et rationnels des agents économiques (consommateurs et producteurs) I. Le marché est le lieu de rencontre de l'offre et de la demande. L'étude des comportements Le consommateur Le consommateur va se tourner vers le panier (biens et services) qui a le plus d'intérêts pour lui. [...]
[...] Le coût d'un ouvrier pour une entreprise correspond aux salaires nets + les cotisations sociales. La productivité marginale correspond à ce que rapporte un ouvrier à l'entreprise Un ménage postule en fonction du salaire proposé. Si le salaire attractif, alors il travaillera, sinon, il préfèrera le loisir au travail. Fixation du salaire d'équilibre sur le marché du travail Lorsqu'il y a pénurie de main d'œuvre, les salaires sont tirés par le haut. Il y a peu d'offre et la demande est élevée, les salariés sont en force donc ils peuvent demander une augmentation de salaire. [...]
[...] La concurrence pure : Atomicité du marché : grand nombre d'offreurs et de demandeurs. Aucun monopole possible. Homogénéité des produits : aucunes différences entre les produits à usage identique. Les produits sont substituables. Libre entrée sur le marché : les entreprises sont libres pour proposer des produits et libres de quitter un marché pour en intégrer un autre. Les marchés sont fluides. La concurrence parfaite : Transparence : les offreurs et demandeurs doivent pouvoir accéder à toutes informations sur les produits. L'information est dite gratuite. [...]
[...] L'objectif principal des entreprises est le profit maximum. Autrement dit, tout repose sur l'aspect mathématique : chiffrer la confrontation offre/demande. Ainsi on fixe un prix d'équilibre et des quantités d'équilibre. La théorie de l'équilibre général Alfred MARSHALL Economiste britannique 1842-1924 Léon WALRAS Eléments d'économie politique pure (1874) La demande est décroissante du prix sur tout type de marché alors que l'offre est toujours croissante pour tout type de bien. On parle de prix d'équilibre lorsque l'offre est égale à la demande. [...]
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