Sciences humaines et arts, différents modèles de capitalisme, capitalisme commercial, capitalisme industriel, capitalisme mondialisé, nouveaux modes de régulation, nouvelle forme de gouvernance
Le capitalisme et ses évolutions doivent être pris en compte afin d'éviter que ne se produisent plus de dysfonctionnements et de ruptures dans les dix années à venir que n'ont pu se produire de progrès et de synergies au cours des cinquante dernières années.
[...] - Dé massification des relations. - la segmentation des politiques sociales ; - la création de relations directes ; - la personnalisation du statut. La déstabilisation des relations sociales. Le détournement du droit social ; l'adaptation à une stratégie de défense face à la crise. - l'utilisation du droit social ; - le droit comme stratégie ; - la mise en œuvre des moyens. Divergences patronales quant aux stratégies à mener (PME, TPE, GE) - des majorités de circonstances ; des considérations politiques. [...]
[...] Le processus de formation de richesses n'est plus suspect. Le capitalisme industriel du XVIII° issu des nouvelles méthodes de production et des idées consacrant le droit de propriété ; la bourgeoisie va jouer un rôle moteur dans le capitalisme. Le capitalisme entre depuis la fin du XIX° siècle dans la phase du capitalisme des grands groupes industriels et financiers dominés par l'Angleterre puis par les Etats-Unis. Depuis quelques années émerge un nouveau capitalisme mondialisé reposant sur deux piliers, la finance internationale (accélératrice des restructurations et des délocalisations) et les technologies de l'information et de la communication (levier de productivité et de diffusion des besoins). [...]
[...] Le modèle social des années 80: années de crise et conditions d'une économie en turbulence. La réaction sociale des entreprises n'est pas immédiate SOULAGE). - l'ampleur de la crise n'est perçue qu'après coup par les responsables. - il existe un temps de latence de 12 à 18 mois qui retarde les réactions stratégiques. Face à la crise, le patronat semble avoir recherché dans un premier temps : - une régression en douceur ; - la mise en place de politiques sélectives ; - la banalisation par le bas des rapports sociaux. [...]
[...] - Mise en place de la quantification du social. - la comptabilité sociale ; comptabilité analytique de l'effort et des coûts sociaux. Il s'agit de traiter la ressource humaine de façon quantitative. - la prévision des effectifs ; on cherche à rationaliser de façon à baisser les coûts d'embauche et de formation. - le contrôle des politiques : tableaux de bord, bilans sociaux. Eclatement de la notion d'emploi - la fin du métier ; les emplois sont définis en termes de niveaux et d'aptitudes à s'adapter plutôt qu'en termes descriptifs. [...]
[...] Les objectifs sociaux sont liés à deux causes. La première qui s'impose naturellement à l'ensemble des organisations réside dans la nécessaire cohérence que doit respecter l'entreprise avec son environnement et notamment la composante sociale et sociologique de ce dernier. La seconde s'impose aux organisations dont la mission s'inscrit directement dans une perspective sociale ou culturelle (services publics, politiques, organisations à but non lucratif, Notons enfin la dimension sociétale des directions marketing des firmes. Les trois axiomes sur lesquels repose cette dimension sont les suivants : les individus ont du mal à distinguer intérêt individuel et collectif ; ils gèrent difficilement l'arbitrage entre intérêt à court terme et intérêt à long terme ; ils vont accorder leur préférence aux organisations qui les aident à régler ces deux dilemmes. [...]
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