Avec le bouleversement économique et social (révolution industrielle), on assiste au développement d'une pensée économique, c'est-à-dire ce qu'on appelle l'économie politique ou la théorie économique. La théorie économique est faite pour répondre aux problèmes de son temps et au final on assiste alors à une différence fondamentale entre les théoriciens fascinés par les marchés (classique et néoclassique) et ceux qui s'opposent le capitalisme et au libéralisme. L'économie politique était réellement née avec la révolution industrielle ? Est-elle née avant et en particulier avec le mercantilisme ? Document de 6800 mots.
[...] Les crises sont donc un élément de régulation du capitalisme. Mais à long terme avec la concentration accrue, avec la baisse tendancielle du taux de profit, avec l'augmentation de l'armée de réserves, les crises vont être de plus en plus graves et permettre la prise de conscience du prolétariat (et donc la révolution). Conclusion : on a une oeuvre importante, marqué par son époque ce qui explique que Delas c'est une version radicale de la pensée classique C'est en même temps une réponse aux libéraux avec un élément important : faire comprendre que le capitalisme s'inscrit dans un cadre historique. [...]
[...] -seul le travail peut produire de la valeur ? pour c'est la production et d'une création d'utilité. Quand on fabrique un objet, on utilise des matériaux dont la quantité n'a pas augmenté, dont la valeur n'augmente pas. Par contre on a transformé des matériaux pour les rendre utile. Donc c'est l'utilité qui donne la valeur aux choses. -seul les biens matériels étaient des richesses ? pour c'est les services sont aussi une production de richesse. Les coûts de production correspondent à la rémunération des services productifs. [...]
[...] ) Donc des inégalités. C'est une pensée inégalitaire. -l'origine des richesses n'est pas le métal de la Terre (la production agricole). Mirabeau la Terre et la mère de tous les biens Dans la société on a trois classes : -la classe productive : les agriculteurs -la classe des propriétaires fonciers qui ont un rôle important car ils avancent le capital -la classe stérile : industrielles, commerçants, artisans. En effet ils ne font que transformer la matière première. Seule l'agriculture multiplie les biens. [...]
[...] -Malthus : il peut y avoir des crises de surproduction. Il estime que tout le monde oublie l'importance de la demande effective, c'est-à-dire la quantité de bien recherchait parce qu'ils peuvent en payer le prix. Pour qu'il y ait cause de la production, il faut qu'il y ait une hausse de la demande. Quand l'offre augmente, cela crée des revenus nouveaux, mais ils ne sont pas forcément consommés. Une partie va vers l'épargne du capitaliste, on a un risque de déséquilibre est à partir de la une sous- consommation. [...]
[...] Il défend le principe de la propriété au nom de la motivation individuelle. Il défend aussi l'esclavage qui selon lui est indispensable et naturel. Il est d'accord sur la division des classes. Et puis il est le premier à montrer qu'il y a une économie monétaire qui pour lui à deux aspects : -une économie naturelle (on achète ce dont on a besoin) -une économie antinaturelle : lorsqu'un bien et vendu en perspective de revente. Pour lui à ce moment-là l'échange n'est plus équitable. [...]
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