Les sciences économiques s'intéressent à la création de richesses, or la création de richesses est difficile à mesurer. C'est pourquoi les économistes ne sont pas d'accord entre eux. Le travail permet la création de richesse. Plus que le travail, c'est la division du travail qui permet d'augmenter la production. Pour SMITH, une main invisible régule les situations de chacun. Chacun suit son propre intérêt, ce qui l'oblige à prendre en compte les intérêts des autres, donc il n'y a pas besoin de l'intervention de l'Etat.
Comment se fait-il que les biens créés trouvent des consommateurs ? Pour Say, toute offre crée sa propre demande. A partir du moment où vous lancez la production d'un bien, vous allez dépenser de l'argent, et tout l'argent distribué sert à acheter les produits.
Il y a autant d'offre que de demande. Les Classiques sont dans une logique de l'offre. L'offre conditionne la demande.
[...] C'est pourquoi toute politique économique est inefficace. Si les salaires augmentent et que tout le monde la sait, les prix augmentent Un credo : limiter le rôle de l'Etat On souhaite encore moins d'Etat dans l'économie : Ils acceptent toujours la sécurité, Si l'Etat s'occupe de la monnaie, il pourrait baisser les taux d'intérêt. C'est pourquoi la monnaie doit être gérée par une banque centrale indépendante. Sanctionner le monopole, c'est sanctionner le meilleur, donc sanctionner l'innovation Une influence réelle De nos jours, les banques centrales sont indépendantes dans la plupart des pays. [...]
[...] Adam SMITH : professeur de philosophie. En 1776, il écrit La richesse des nations Le travail permet la création de richesse. Plus que le travail, c'est la division du travail qui permet d'augmenter la production. Pour SMITH, une main invisible régule les situations de chacun. Chacun suit son propre intérêt, ce qui l'oblige à prendre en compte les intérêts des autres, donc il n'y a pas besoin de l'intervention de l'Etat Jean-Baptiste SAY et la loi des débouchés SAY : français (début du 19ème). [...]
[...] La place de l'Etat est réduite. Pour eux l'Etat n'a que 3 rôles : Assurer la sécurité (intérieur et extérieur), La monnaie (pour permettre des échanges), Lutter contre les monopoles. II. La révolution keynésienne KEYNES : première moitié du 20ème A partir des années 30, il remet en question toutes les théories qu'il avait étudiées Une série de ruptures conceptuelles Il fait 2 critiques : o Pour KEYNES, le fait que l'offre conditionne la demande (SAY) correspond au long terme car si les consommateurs épargnent au lieu de consommer, l'offre ne sera pas forcément égale à la demande. [...]
[...] Il y a autant d'offre que de demande. Les Classiques sont dans une logique de l'offre. L'offre conditionne la demande Léon WALRAS et le commissaire-priseur Néoclassique (fin 19ème). Les néoclassiques intègrent les mathématiques. Ils se posent comme questions : qu'est-ce qui permet à l'offre d'égaler la demande ? Le commissaire-priseur fait bouger les prix jusqu'à ce que deux personnes se mettent d'accord. Pour WALRAS, l'offre et la demande s'équilibre en fonction des prix Le rôle de l'Etat chez les classiques et les néoclassiques. [...]
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