Cours d'Economie présentant le courant néoclassique, courant économiste qui diverge de la pensée classique. Les différences entre ces deux courants sont exposées.
[...] Dû à cela on retrouve une saturation qui va mener à un retournement de la situation. Puis, on retrouve une troisième phase appelée la faillite des entreprises qui vont mettre en place de nouvelles conditions de production ainsi que de nouvelles innovations. La dernière phase est donc la reprise de l'entreprise en fin de cycle. Schumpeter pense que l'entrepreneur est celui qui est à la base des innovations car c'est celui qui prend les risques non pas pour l'argent mais avec sa volonté de réussir personnellement. [...]
[...] Tout le monde ne pourra pas être satisfait ce qui va créer un équilibre dû à cette concurrence et un équilibre de marché donnant lieu à différentes propositions d'offres et de demandes qui vont essayer de satisfaire les individus. C'est pour cela que rareté et équilibre sont deux concepts fondamentaux. IV. La théorie de Schumpeter Schumpeter part du principe que le capitalisme ne cesse d'évoluer et de changer et qu'il ne peut rester à un état stationnaire. A partir de cela, il explique que si le capitalisme n'a pas encore disparu c'est grâce aux innovations. Il se base sur le processus de destruction créatrice. Ce processus explique que la création de nouvelles innovations détruit les anciennes. [...]
[...] De plus, les classiques voient la société divisée en classes sociales alors que les néoclassiques analysent la société par les comportements individuels. Et enfin, les classiques ne voient pas d'intérêt à la différence entre capitalistes et entrepreneurs alors que pour les néoclassiques, ce sont les entrepreneurs qui organisent la combinaison productive et ils sont très différenciés des capitalistes qui sont les propriétaires des biens radicaux. II. La répartition des revenus et l'individualisme méthodologique chez les néoclassiques La répartition des revenus chez les néoclassiques est basée sur le principe marginal qui montre que les prix des services producteurs sont proportionnels aux productivités marginales des facteurs. [...]
[...] Les classiques ont une vision objective de la valeur et ils n'ont jamais liés la valeur d'échange à la valeur d'utilité tandis que les néoclassiques ont une vision subjective de la valeur et ont résolu le paradoxe de l'utilité en la liant à l'offre et à la demande. D'autre part, les classiques et les néoclassiques s'opposent sur la répartition des revenus. Les classiques pensent que les revenus des capitalistes et des propriétaires fonciers sont des déductions de la valeur crée par le travail. Tandis que les néoclassiques considèrent ces revenus comme des salaires qui seraient la rémunération de services producteurs. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture