Consommation et épargne, Keynes, biens et services, processus de production, taux d'intérêt, inflation, auteurs néoclassiques, effet d'éviction, demande effective, Thomas Brown, Modigliani, fiche économie
La consommation est l'opération économique consistant à acquérir des biens
destinés à être détruits immédiatement et progressivement à travers leur utilisation. La consommation finale correspond aux achats de biens et services visant à satisfaire directement les besoins d'un ménage. La consommation intermédiaire correspond elle aux achats de biens et services disparaissant dans le processus de production. La consommation finale se compose de consommation marchande et non marchande.
[...] L'autoconsommation quand le bénéficiaire n'est pas identifiable. LA CONSOMMATION EFFECTIVE DES MENAGES Consommation de B&S directement supportée par les ménages et indirectement supportée par les ménages à condition qu'on puisse identifier le ménage bénéficiaire. Ainsi Consommation effective des ménages = consommation marchande + consommation non marchande individualisable Fiches Economie DCG L'épargne : C'est la part du revenu disponible qui permet d'accumuler les actifs physiques, financiers ou productifs. Il existe trois grands motifs de l'épargne : - L'épargne de précaution : Motivée par la peur de l'incertitude - L'épargne de prévoyance : Motivée par la réalisation d'un projet futur - L'épargne pour constituer ou transmettre un patrimoine L'EPARGNE NON FINANCIERE L'EPARGNE FINANCIERE Elle correspond à ce que l'on appelle la capacité de financement des ménages. [...]
[...] Limites - les limites de la politique de relance de la demande - l'explosion des déficits public et commercial II) Les déterminants du partage du revenu entre la consommation et l'épargne A. Selon les néoclassique, le taux d'intérêt et l'inflation sont des déterminants de l'épargne, la consommation étant un résidu Suivant l'analyse néoclassique, l'épargne dépend du taux d'intérêt (fixé sur le marché des fonds prêtables), un fort taux d'intérêt incité à accroitre l'épargne (car + forte rémunération de l'épargne). La consommation est considérée comme la part de revenu non épargné, c'est un résidu. [...]
[...] Il existe un effet de cliquet : si les revenus baissent à un moment donné, les ménages ne diminuent pas pour autant leur niveau de consommation. —> La critique formulée par Friedman ou la théorie du revenu permanent Revenu permanent : désigne le revenu annuel moyen estimé par l'individu. Il correspond au revenu courant corrigé des revenus futurs anticipés sur la base d'anticipations adaptatives. Il est bcp plus stable que le revenu courant. La consommation est proportionnelle au revenu permanent. [...]
[...] Epargne placée à moyen et long terme et donc réinjectée dans les circuits de financement de l'économie. C'est le cas des placements à moyen-long terme / acquisitions d'actions et d'obligations. Elle désigne le remboursement des prêts souscrits pour les investissements immobiliers des ménages. remboursement des prêts souscrits pour les investissements des e n t r e p r i s e s individuelles. NOTONS QUE SEULE L'EPARGNE FINANCIERE PLACEE VA PARTICIPER AU FINANCEMENT DE LA CROISSANCE. Fiches Economie DCG I. [...]
[...] Selon Keynes, le revenu courant est le déterminant de la consommation, l'épargne étant un résidu. Revenu courant : désigne le revenu perçu par le ménage au cours d'une période. Propension moyenne à consommer : désigne la part du revenu qui est consacrée à la consommation ( montant de la conso / montant du revenu ) Propension marginale à consommer : se définit comme la part de revenu supplémentaire consacré à un supplément de consommation ( montant de variation de la conso / montant de la variation du revenu ) Fiches Economie DCG —> Suivant l'analyse Keynésienne, la consommation dépend du revenu courant. [...]
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