chômage, relance de l'économie, politique de rigueur, normes européennes, actionnaires
Dans tous les pays, à partir des années 80 (Thatcher & Reggan), on se met à faire des politiques plus libérales, plus rigoureuses. Ces politiques ont les poursuit. Donc dans les pays, le nouveau capitalisme se met en place. Certains l'appellent le capitalisme actionnarial (parce que c'est l'actionnaire qui est important). D'autres l'appelle le capitalisme patrimonial (l'important c'est le patrimoine). Ce capitalisme est très différent du précédent et il va rentrer en crise autour de 2008. On se demande si on ne s'est pas tromper. Pour régler problèmes on en a créé d'autres.
[...] Puis il réapparaît à la fin des années 60. Dans notre société le chômage a augmenté puis est toujours resté élevé alors que dans les autres pays il varie. Peut-être que la France a choisi le chômage en ne remettant pas en cause les droits acquis, le système social mis en place. Si les salaires baissent il ne peut pas y avoir chômage. Pour les libéraux, il y a plusieurs mécanismes qui créent le chômage : les allocations chômage, tous les droits sociaux (je peux être soigné Les libéraux et les modernes vont penser à une autre cause : l'insuffisance de la productivité en France. [...]
[...] Les entreprises sont donc par conséquent obligées d'obéir aux marchés financiers. Les marchés financiers, imposent un peu leurs lois, obligeant les états à obéir aussi. *L'innovation financière. Exemple du pétrole aujourd'hui qui représente un marché financier. Achat et vente mais des produits qui se font trois mois à l'avance, on vend des choses qui ‘existent pas encore c'est un deuxième marché. On achète, on vend avec des options. C'est une chose valable pour tous les produits. Ainsi ces innovations financières deviennent tellement techniques qu'elles sont en fait organisé par des spécialités. [...]
[...] En plus de cela les entreprises passent des accords avec des banques, des assurances et il est très difficiles de voir ou sont les différents pouvoir. Les entreprises sous-traitantes peuvent être répartit sur l'ensemble de la planète et c'est un problème pour l'Etat. Les salariés changent plus souvent d'entreprises et il y a moins de culture d'entreprise en conséquence. Question de la spécialisation des entreprises. Avant une entreprise, avait plusieurs activités. Les actionnaires préfèrent avoir une entreprise différente pour chaque activité. [...]
[...] Le Capitalisme Contemporain. Il y a des problèmes qui arrivent mais surtout du côté politique économique qui n'arrivent pas à régler les problèmes. On essaye à cette époque une relance de l'économie, dans les années 60 par Chirac mais ça ne marche pas. Le chômage descend peu. Il faut donc après une politique rigueur. On réessaye une relance en 80 avec la gauche, avec encore une politique de rigueur, mais ça ne fonctionne toujours pas. Dans tous les pays, à partir des années 80 (Thatcher & Reggan), on se met à faire des politiques plus libérales, plus rigoureuses. [...]
[...] *La question des agences de notation. Devant les produits financiers très compliqués relativement incompréhensible, la plupart des gens qui achètent des produits financiers veulent des informations. On crée ainsi des agences de notation, qui vont dire ce qui est risqué et ce qui va rapporter beaucoup. Mais dans les années 2000, les agences de notation dysfonctionne car elles ont du mal à comprendre les marchés financiers, elles ont tendance à rester sur les schémas anciens. Or elles devraient être capables de voir qu'au bout d'un moment une tendance va s'arrêter. [...]
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