Dans ce livre, les deux auteurs qui sont des grands journalistes et chercheurs nous ont donné une explication réelle pour la crise financière de 2007 et surtout si l'on pouvait la prévoir. En effet, dans ce récit, nous avons pu constater qu'au-delà des problèmes liés aux abus du capitalisme, et des décisions des spéculateurs, la faillite des subprimes est surtout une crise de la connaissance des causes.
[...] Puis, ces auteurs, nous explique la pratique de la titrisation créer par Ginnie Mae depuis 1970. Mais c'est en 2000, que cette pratique à exploser avec le début des Special Purpose vehicle qui rachète des actifs tritisés et émettent des dettes hypothécaires. L'objectif de la titrisation est de disperser les risques, ce qui rend le système opaque et permet d'i responsabiliser afin d'enlever la relation directe entre le préteur et l'emprunteur pour une forte complexité des titres, tout le système se repose donc sur la valeur qu'on leur attribue. [...]
[...] La thèse de Bachelier a été adoptée par les mathématiciens français et notamment R. Poincaré qui en déduira les limites par la suite. Par ailleurs, nous constatons que ce Virus B se réveille, l'influence brownienne se retrouvera par la suite dans le modèle de Black et Scholes dans la crise de 1987 et à partir des années 1980 avec la titrisation. C'est alors qu'arrive le problème de l'évaluation des risques de produits financiers tels que les CDO (Collateralised Debt Obligations) qui se composent de plusieurs créances pour arriver à un système pour limiter les non remboursement, car elles sont indépendantes l'une de l'autres. [...]
[...] Hélène YOGANANTHA ESAM 4ème année PE LE VIRUS Crise financière et mathématiques De Christian Walter et Michel de Pracontal Fiche de Lecture : Dans ce livre, les deux auteurs qui sont des grands journalistes et chercheurs nous ont donné une explication réelle pour la crise financière de 2007 et surtout si l'on pouvait la prévoir. En effet, dans ce récit, nous avons pu constater qu'au-delà des problèmes liés aux abus du capitalisme, et des décisions des spéculateurs, la faillite des subprimes est surtout une crise de la connaissance des causes. [...]
[...] Le Virus B a été un attrait dans tous les modèles. Comment, alors, peut-on expliquer l'attraction que cette vision a exercée sur les économistes et les financiers ? Les auteurs, nous parlent d'une vision simple et une rentabilité absolue. Mais certains auteurs avait déjà avertit que le modèle Brownien était un Virus, comme Mandelbrot dès 1962. Il y a donc eu, selon le mot des auteurs, une mutation du virus B dans les années 1950 mais celui-ci a fini par buter sur le principe de réalité que constituent les krachs. [...]
[...] En effet, la logique Brownienne constitue l'ensemble de la théorie financière et agit sur la plupart des modèles utilisés. Nos deux auteurs comparent donc cette logique à un VIRUS B pour Brownienne. D'après Walter, on retrouve le Virus B dans le livre de Jules Regnault en 1863, pour qui le comportement des risques suit une loi normale celui-ci pense également qu'il n'y a pas de lien entre les courbes du passés et qu'il est possible d'établir une loi de probabilité de la variation des cours. [...]
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