L'argumentation d'Adam SMITH est basée sur un marché autorégulateur (on laisse faire le marché). Le libre jeu de la loi et de la demande sur le marché donne les solutions les plus efficaces. Pour que les hommes soient heureux, on laisse faire le marché.
Parmi les auteurs sont les suivants :
- Jean-Batiste SAY (1803) : l'offre crée sa propre demande donc l'équilibre du marché existe toujours ;
- (...)
[...] Le libre jeu de la loi et de la demande sur le marché donne les solutions les plus efficaces. Pour que les hommes soient heureux, on laisse faire le marché. Parmi les auteurs sont les suivants : Jean batiste SAY (1803) : l'offre crée sa propre demande donc l'équilibre du marché existe toujours ; David RICARDO (1817) : le commerce international améliore l'utilisation des facteurs de production et le bonheur des nations ; Léon WALRAS (1874) ; le marché et la loi de l'offre et de la demande permettent d'atteindre un équilibre optimal. [...]
[...] L'équilibre s'établit lorsque le prix est fixé tel que offre = demande ; La limitation du rôle de l'état : limité aux fonctions de défense, justice, police et émission monétaire. La pensée marxiste Karl MARX (1818 1883) qualifié de révolutionnaire et qui condamne le système capitaliste. Il part d'un constat dans la société capitaliste : le conflit de classe oppose les détenteurs de moyens de production (capitalistes) à ceux qui vendent leur force de travail (prolétaires). Le Marxisme repose sur les éléments suivants : Le capital résulte d'un rapport social d'exploitation : le capitalisme achète sa force de travail au prolétaire pour qu'il produise dans marchandises dont la valeur est supérieure aux salaires offerts. [...]
[...] Karl MARX est persuader que si les classes ouvrières s'organisent elles reverseront l'ordre capitaliste, aboliront la propriété privé des moyens de production pour aller vers une société fondée sur le modèle de production des travailleurs associés La pensée keynésienne KEYNES (1883 1946) à la volonté de réformer le système capitaliste avec l'échec du laisser-faire, laissé -passer. Lors de la grande crise des années 1930 à conduit Keynes à mettre l'accent sur les défaillances de l'économie de marché et justifier l'intervention de l'état. Deux lignes directrices de cette pensée : L'économie de marché peut être défaillante : les comportements individuels ne sont pas toujours rationnels. Lorsque l'offre est supérieure à la demande, les prix ne baissent pas automatiquement puisque les entreprises peuvent agir sur les stocks ou sur le niveau des emplois. [...]
[...] L'État est désormais un acteur à part entière de l'économie de marché. Puisque l'offre est supérieure à la demande, il faut relancer la demande. Par exemple, l'état peut encourager l'investissement, augmentation des dépenses publiques, lancer des politiques de grands travaux, peut encourager l'investissement, soutenir la demande des ménages en augmentant les salaires distribués. Avec la pensée Keynésienne apparait l'idée de politique sociale. D'autres courants de pensée Le préfixe néo devant un courant de pensée traditionnel définit l'école des économistes contemporains qui actualisent, retravaillent la pensée de leur prédécesseur. [...]
[...] Les néo marxistes représentés par l'école de la régularisation préconisent des solutions alternatives à l'économie de marché. Les néo keynésiens adaptent les idées de Keynes à une économie ouverte. Les néo- libéraux préconisent des réformes structurelles et une baisse sévère des impôts pour favoriser l'attractivité fiscale. On note : La difficulté de mise en œuvre : les décisions politiques doivent être populaires. Elles ne cadrent pas toujours avec la rigueur économique nécessaire. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture