Théorie keynésienne, théorie néo-classique, Keynes, Hicks, Stiglitz, Hayek, loi psychologique, prix du marché, New York, aspects macro-économiques, macro-sociaux, États-Unis, FED, chômage, salaire, demande de travail, krach de la bourse
Le 24 octobre 1929, c'est le krach de la bourse de New York et le début d'une crise sans précédent dont on gardera le souvenir. Cette crise a pour particularité la projection sur le devant de la scène de John Maynard Keynes, qui jusque-là n'était pas réellement considérée. Mais pour quelles raisons ? La crise de 1929 a été ponctuée par la surproduction qui en est la cause majeure d'ailleurs, mais aussi pas le chômage de masse.
[...] Pour conclure, nous pouvons dire que les théories néo-classiques et keynésiennes se complètent chacune répondant aux lacunes de l'autre. Nous ne pouvons pas nier une relation entre ces deux théories d'ailleurs le courant de pensée néo-keynésien vise à associer des faits de types keynésiens avec des fonds théoriques néo-classiques. On peut citer Hicks avec le modèle ISLM ou encore Stiglitz et le salaire d'efficience. Ainsi au- delà de la complémentarité entre ces deux théories, les enjeux actuels font que celles-ci deviennent des sortes d'outils à utiliser selon la conjecture. [...]
[...] Cependant, ce modèle nécessite l'intervention de l'État (limité seulement juridique), mais qu'est-ce que ce dernier gagne ? L'État ne risque-t-il pas de s'endetter ? Non, car ce cercle vertueux crée des « vagues » de bénéfices à chaque fois, certes elles sont de moins en moins importantes, mais on ne perd pas à l'échange. On calcule ce bénéfice avec le multiplicateur keynésien m=1/1-C (propension à consommer). D'ailleurs, le président Roosevelt s'inspire de la vision de Keynes pour le New deal et son efficacité fut démontrée. [...]
[...] La permutation des théories néo-classiques et keynésiennes pour faire face aux crises 1. Le retour des néo-classiques avec l'avènement du libéralisme Le désengagement de l'État dans le domaine économique Suite aux multiples échecs de politiques de relances, le retour de la théorie néo-classique atteint son apogée notamment en Angleterre avec Thatcher et aux États-Unis avec Reagan. Inspiré notamment par la pensée de l'ultra libéral Hayek, on assiste à un désengagement de l'État, des privatisations, des baisses d'impôts (qui ont pour but la diminution des coûts de production pour les rendre de nouveau compétitives). [...]
[...] La théorie keynésienne inadaptée à la mondialisation 1. Un raisonnement fermé au sein d'une économie ouverte À partir des années 30, et ce, jusqu'au début des années 70, les théories de Keynes ont été appliquées dans différents pays. Et avec succès, nous avons à l'esprit les 30 glorieuses en France par exemple ou encore la prospérité américaine qui se diffusait à l'international. En clair, les « remèdes » keynésiens ont fait merveille sauf qu'à partir des années 70, les politiques de relances sont un échec celle de Chirac en 1975 ou de Mitterrand en 1981 pour rester en France. [...]
[...] Théorie keynésienne et théorie néo-classique : opposition ou complémentarité ? Le 24 octobre 1929, c'est le krach de la bourse de New York et le début d'une crise sans précédent dont on gardera le souvenir. Cette crise a pour particularité la projection sur le devant de la scène de John Maynard Keynes, qui jusque-là n'était pas réellement considérée. Mais pour quelles raisons ? La crise de 1929 a été ponctuée par la surproduction qui en est la cause majeure d'ailleurs, mais aussi par le chômage de masse. [...]
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