Théorie des jeux, microéconomie, échanges marchands, concurrence, George Akerlof, atomicité des participants, principe d'exclusion, Folk Theorem, risque moral
L'analyse microéconomique propose une représentation du des échanges marchands. La microéconomie part du principe selon lequel les individus engagés dans des échanges marchands adoptent un comportement rationnel, ils cherchent donc à maximiser leur bien-être dans la limite des possibilités qui lui sont offertes. La microéconomie, quant à elle, étudie les échanges marchands dans un cadre de concurrence parfaite
[...] Donc la théorie des jeux est résolument un outil d'analyse de la concurrence pertinent. Néanmoins, la théorie des jeux ne se concentre que sur la stratégie qu'entreprend les entreprises, et ne s'intéresse pas aux autres aspects de la concurrence comme l'imperfection de l'information, le risque moral et l'anti-sélection. De plus, l'existence de multiplicité d'équilibres nous informe que l'hypothèse de la rationalité limitée peut avoir une portée prédictive insuffisante. Par ailleurs, nous avons pu constater que les jeux avaient des limites avec le dilemme du prisonnier, la guerre des sexes, les jeux répétés et le folk theorem, ceux-ci pouvant se montrer inefficaces ou source d'une trop grande multiplicité. [...]
[...] Mais si elles agissent toutes les deux en même temps, elles ne peuvent pas rentabiliser le produit. AIRBUS Produit BOEING Produit Ne pas produit Ne produit pas (100;0) (0;100) Pour chaque cas représenté ici, le premier chiffre exprime le gain ou la perte de Boeing et le deuxième chiffre exprime le gain ou la perte d'Airbus. Donc si les deux firmes produisent en même temps elles perdent chacune 5. Si Boeing produit mais pas Airbus, il gagne 100 et Airbus rien. [...]
[...] Les jeux à somme nulle ou non nulle Ce sont les jeux les plus simples de la théorie des jeux. Le jeu à deux joueurs et à somme nulle Son principe est que l'un gagne ce que l'autre perd. Ce sont Von Neumann et Morgenstern qui sont à l'origine de cette notion, appelée forme extensive d'un jeu. Ici, chaque participant connait parfaitement le jeu, autrement dit il a la capacité de connaitre les détails des situations et leur évolution. Pou illustrer ce jeu, nous faisons appel a un arbre à jeu. [...]
[...] Il existe une méthode de résolution grâce a un concept de coalition, présent chez Von Neumann et Morgenstern. L'idée est que l'on peut décomposer les n joueurs en deux sous-ensemble ou deux coalitions. On envisage toutes les coalitions possibles, chacune d'entre elles sont associées à un nombre : c'est la valeur de la coalition, qui correspond à ce qu'on peut obtenir au minimum si les joueurs se regroupent en une équipe et telle qu'aucune autre coalition ne puisse se former pour la bloquer. Ces coalitions sont particulièrement évidentes dans les jeux électoraux de vote. [...]
[...] Car il montre que l'équilibre non coopératif aboutit la plupart du temps à une situation inefficace qui pourrait être améliorée grâce à la coopération. Dans l'exemple des deux suspect, nous pouvons voir bien que ceux-ci soit rationnel et intelligent ils n'aboutissent pas a un équilibre coopératif donc leur gain sont faibles. L'amélioration de la situation par la coopération est difficile à mettre en œuvre car elle peut être dangereuse pour ceux qui respectent leurs engagements si les autres ne le respectent pas. [...]
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