Taylorisme- Fordisme- Toyotisme- Organisation scientifique du travail- modèle industriel-évolution de l'économie industrielle- théories économiques
Suite au choc pétrolier de 1973 les pays développés ont connus des revers quant au modèle Taylorofordiste face au changement de l'environnement socio-économique.
Le Taylorofordisme est une organisation du travail dite scientifique car elle repose sur une rationalisation poussée à l'extrême de la division des tâches où rien n'est laissé au hasard pour aboutir à la meilleure façon de produire en éliminant les temps morts. Ainsi apparait une double division du travail : La division horizontale où l'activité est découpée en plusieurs opérations ; les tâches les plus simples possibles sont confiées aux ouvriers dont on demande de faire toujours le même geste dans un temps chronométré et où il est motivé par un salaire au rendement. Par ailleurs, il existe dans ce modèle la division verticale du travail : elle sépare les tâches d'ouvriers déqualifiés (les cols bleus, manoeuvres et ouvriers spécialisés) et les tâches de conceptions confiés aux ingénieurs ou cols blancs. Il y également dans modèle Taylorofordiste la mise en place du travail à la chaîne et le convoyeur qui permet d'aller plus loin dans la suppression des temps morts car ce n'est plus l'ouvrier qui se déplace vers 'objet mais c'est celui-ci qui vient à l'ouvrier.
Ce modèle à ainsi permis le passage à une production de masse puisque les produits sont alors fabriqués en grande série et de façon standardisé ceux qui permet d'amortir les coûts fixes, donc de diminuer le coût unitaire e de réaliser des économies d'échelles.
[...] Sup groupe 1. L'environnement économique : Le Taylorofordisme Sommaire : Introduction L'ampleur du Taylorofordisme aujourd'hui Le Taylorofordisme, n'a pas disparu, il a évolué. Son expansion aux modèles du tertiaire Les raisons de ce succès Offre : productivité accrue La flexibilité du modèle face aux nouveaux enjeux économique Conclusion Introduction : Suite au choc pétrolier de 1973 les pays développés ont connus des revers quant au modèle Taylorofordiste face au changement de l'environnement socio-économique. Le Taylorofordisme est une organisation du travail dite scientifique car elle repose sur une rationalisation poussée à l'extrême de la division des tâches où rien n'est laissé au hasard pour aboutir à la meilleure façon de produire en éliminant les temps morts. [...]
[...] Annexe : Document 1 : Document 2 : Document 3 : Document 4 : Document 5 : Document 6 : TRIBUNE 03/03/2004 À 23H33 Machine à broyer La Chaîne invisible, de Jean-Pierre Durant, Seuil pp euros. Jamais on n'a travaillé aussi dur, dans des conditions d'incertitude sur l'avenir qui n'ont guère de précédent, et pourtant cette machine broyeuse du capitalisme contemporain n'entraîne pas les révoltes que d'aucuns se projettent dans le film du «grand soir» salvateur. C'est le postulat d'un sociologue, Jean-Pierre Durant, dont le titre de l'ouvrage, la Chaîne invisible, dit assez bien la nouvelle aliénation du travail. [...]
[...] En effet, ce que le Toyotisme a permis et que Ford, lui même n'a jamais résolu, c'est que dans un contexte économique où la concurrence s'intensifiait, la demande et les produits se diversifiaient, et la demande n'était pas toujours si forte, il ne servait à rien de stocker. Autant donc produire seulement pour ce qui est commandé. De même, le travail est très largement déqualifié, ce qui ne permet aucune réalisation personnelle dans le cadre de travail. La qualité de la production s'en ressent. [...]
[...] On essaye alors de faire varier les tâches. Dans un système où les stocks sont inexistants, « il s'agit de concevoir, fabriquer et vendre dans une séquence temporelle comprimée à l'excès. Ce mode de production imprègne les mentalités collectives et un rapport au «service» qui rend tout un chacun complice et victime du système ». Il faut aussi préciser, que le Taylorofordisme a perduré et migré dans les pays émergeants sous sa forme la plus pure. On retrouve ainsi dans ces pays et dans le secteur industriel, une division du travail poussée à l'extrême et le retour du travail à la chaine. [...]
[...] Très critique sur les 35 heures façon lois Aubry, l'auteur plaide pour un «partage du travail» car, explique-t-il, «un emploi pour tous apparaît comme une nécessité d'ordre anthropologique dans l'étape actuelle de nos sociétés capitalistes». [...]
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