La division du travail est un des moyens utilisés par l'entreprise, afin d'augmenter sa productivité. Le Taylorisme puis le Fordisme ont générés des gains de productivité importants mais les effets de cette organisation se sont estompés dans les années 70.
Depuis, les entreprises cherchent à obtenir un redémarrage de productivité en adoptant une nouvelle organisation du travail, le Toyotisme. Dans cette problématique, deux notions semblent importantes à définir, car qui dit "organisation actuelle", dit NFOT. Les Nouvelles Formes d'Organisation du Travail (...)
[...] Le caractère insipide du travail, justifie l'abandon du Taylorisme. PREMIERE PARTIE : Deuxième paragraphe C'est Taïchi Ohno qui met en place les principes de l'organisation Toyotiste qui à été appliquée chez Toyota. Aujourd'hui, ce sont les firmes Japonaises qui servent de référence. Le Toyotisme (ou Ohnisme), tend à remplacer le Taylorisme et le Fordisme. Contrairement à Taylor, Ohno s'est efforcé de penser à l'envers Ses modalités de travail jouent sur la participation aux décisions de gestion, d'initiative et du travail en équipe. [...]
[...] Devoir de Sciences économiques et sociales Classe de Terminale ES Devoir du 15/01/07 Sujet : Dans quelle mesure l'organisation actuelle du travail remet-elle en cause l'organisation Taylorienne du travail ? Note du devoir : 16/20 Appréciations du correcteur : Un très bon devoir. Une bonne structure Plan Introduction Première partie : Oui, l'organisation actuelle est remise en cause Premier paragraphe : Les limites du Taylorisme Deuxième paragraphe : La remise en cause de l'OST par les NFOT Deuxième partie : Le Taylorisme n'est pas mort Premier paragraphe : Les limites du Toyotisme Deuxième paragraphe : Le regain de pouvoir du Taylorisme Conclusion INTRODUCTION La division du travail est un des moyens utilisés par l'entreprise, afin d'augmenter sa productivité. [...]
[...] DEUXIEME PARTIE : Deuxième paragraphe Les grandes usines ont laissées place aux petites unités à taille humaine, l'emploi industriel à fondu au profit de l'emploi tertiaire, le travail en groupe et autres cercles ont pris la place, le chronomètre de Taylor à cessé de rythmer le travail. Pourtant, le cœur de leur fonctionnement est identique au Taylorisme, aux tâches subdivisées et au rythme imposé. Taylor, menacé par la crise a su rebondir. Il a su garder son secteur d'origine, mais il en a conquit d'avantages. Il y à toujours une proportion d'ouvriers qui travaillent à la chaîne (non-qualifiés). Ce travail à progressé dans l'agro-alimentaire, où il était auparavant inexistant. Ce sont les femmes qui sont les plus touchées. [...]
[...] CONCLUSION On peut dire que la définition d'une nouvelle organisation du travail, entre post-taylorienne et néo-taylorienne, génératrice de croissance est difficile. Il faut souligner l'importance des conflits sociaux et des revendications pour la définir. L'analyse et la comparaison des deux grands principes de l'organisation du travail, Taylorisme et Toyotisme, nous à permit de penser qu'ils se différencient tant au niveau de la gestion et de la production, qu'au niveau de l'organisation du travail. Mais les deux modèles convergent dans le sens de l'intensité du travail qui permet d'accroître la productivité. [...]
[...] Le Taylorisme favorise la passivité des travailleurs et la porosité de la journée de travail, qui réduit la productivité. Cela donne naissance en 1970, lors de la crise économique, à une seconde crise du Taylorisme, en effet, la routine et l'abrutissement ainsi que le côté lourd du travail engendrent surmenages et accidents, l'absentéisme croit, ainsi que les revendications et les conflits. Les pièces perdent alors en qualité. La réaction sociale face aux excès de travail à la chaîne, à suscité l'introduction d'innovations organisationnelles. [...]
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