Les deux facteurs de production sont le travail et le capital. Le facteur travail est mesuré par la population active. Le capital c'est l'ensemble des moyens de production c'est-à-dire tout ce qui permet de produire des biens et des services.
La combinaison productive va dépendre du coût relatif du travail et du capital. Dans les pays riches, la tendance est de substituer du travail au capital.
Le résidu est la part de la croissance économique non expliquée par l'augmentation des facteurs de production. Les économistes attribuent ce résidu au progrès technique. En améliorant les machines ou les procédés de fabrication, en élevant la qualification des travailleurs, la combinaison travail – capital devient plus efficace, ce qui permet l'augmentation de la productivité.
[...] Il doit intervenir dans tous les cas où des effets externes positifs sont attendus : - L'amélioration du niveau général d'instruction d'un pays bénéficie aux entreprises sans que celles-ci financent spécifiquement ce service qui leur est rendu - L'Etat intervient pour favoriser le progrès technique : en effet certaines recherches, trop fondamentales pour être rentables immédiatement, ne seraient jamais entreprises si l'Etat ne contribuait pas à leur financement. - Il crée des effets externes positifs en développant les infrastructures, en particulier de communication. Les sources de la croissance ne sont plus extérieures à l'organisation économique, mais interne, endogène. [...]
[...] Le facteur travail est mesuré par la population active. Le capital c'est l'ensemble des moyens de production c'est-à-dire tout ce qui permet de produire des biens et des services. La combinaison productive va dépendre du coût relatif du travail et du capital. Dans les pays riches, la tendance est de substituer du travail au capital La question du résidu Le résidu est la part de la croissance économique non expliquée par l'augmentation des facteurs de production. Les économistes attribuent ce résidu au progrès technique. [...]
[...] - Augmenter les salaires. Ce qui engendre une augmentation du pouvoir d'achat et donc de la demande et favorise ainsi la croissance économique. - Augmenter les profits qui seront utilisés soit afin de faire des investissements supplémentaires (la FBCF est un élément de la demande globale) qui vont avoir une action positive sur la demande et donc favoriser la croissance économique ; ou soit seront distribués aux actionnaires ce qui augmente leur revenu et ainsi leur consommation qui va engendrer une production supérieure. [...]
[...] 1 L'utilisation de machine plus performante Ce qui permet au travailleur de produire plus efficacement. La production est de plus en plus capitalistique. L'intensité du capital dans la production est de plus en plus importante Une meilleure organisation du travail Smith, en 1776, a été le premier à parler de division du travail. Un travailleur peut faire une épingle tout seul mais il en fabriquera peu, en revanche en divisant la fabrique en 18 opérations distinctes on arrivera à fabriquer des milliers d'épingles par jour. [...]
[...] C'est la théorie Keynésienne : une augmentation de la demande entraîne obligatoirement une augmentation de la production ce qui est donc facteur de croissance économique Le profit : principale motivation de l'entrepreneur. Schumpeter (1883-1950) C'est parce que l'entrepreneur cherche à réaliser un profit qu'il introduit des innovations, moteur de la croissance. Ce sont des grappes d'innovations qui déclenchent l'expansion économique L'environnement socioculturel Max Weber (1864-1920) montre le rôle des valeurs dans la croissance économique. Il a soutenu l'idée que les valeurs véhiculées par le protestantisme avaient favorisé le développement du capitalisme dans les pays anglo-saxons. Leur religion les pousse à épargner. [...]
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