Économie monétaire, mondialisation, Keynes, Say, théorie quantitative, équilibre monétaire
On quitte le fonctionnement d'une économie réelle, pour rentrer dans une économie monétaire, mais pas encore insérée dans la mondialisation.
La problématique consiste à se demander si la monnaie est uniquement un intermédiaire des échanges, qui sert à les faciliter, où est-ce qu'elle peut-être demandée pour elle-même selon la formule de Keynes, ou si selon Say, elle n'est qu'un voile ?
Cette question est au cœur de la réflexion économique du 19ème siècle et de la première moitié du 20ème siècle. On en voit clairement l'enjeu : si elle est neutre, c'est qu'elle n'intervient pas sur l'économie réelle. Cette question a aussi des prolongements idéologiques. Si la monnaie qui est le principal instrument de l'intervention étatique n'est qu'un voile, alors l'intervention étatique ne se justifie plus.
[...] Il n'y a pas de loi psychologique fondamentale. Il parle du revenu permanent ; (D2. 21) oY = Yp + Yt (revenu permanent et revenu transitoire) o C = k Yp o si Yt inf à 01, Yt est épargné. Qqn avec revenu permanent de 100, fluctuation entre 95 et 105, parfois sont revenu monte, ou descend, mais sa consommation se calque sur son revenu permanent de 100, quand il a moins il prend sur son épargne, quand il a plus, il épargne. [...]
[...] Il n'y a pas de loi psychologique fondamentale. Il parle du revenu permanent ; (D2. 21) oY = Yp + Yt (revenu permanent et revenu transitoire) o C = k Yp o si Yt inf à 01, Yt est épargné. Qqn avec revenu permanent de 100, fluctuation entre 95 et 105, parfois sont revenu monte, ou descend, mais sa consommation se calque sur son revenu permanent de 100, quand il a moins il prend sur son épargne, quand il a plus, il épargne. [...]
[...] Un marché du travail, un marché de biens et services et un marché d'épargne et d'investissement existent concomitamment. Les 3 marchés s'équilibrent sans recours à des questions monétaires. Ex ante, ex post : avant que le marché ne s'équilibre, les comportements d'épargne et d'investissements possibles sont très nombreux. Mais, la procédure de marché fait qu'il y a un équilibre ex post et non ex ante. On a marché classique de l'investissement qui s'équilibre en fonction du taux d'intérêt, de la rentabilité de l'investissement. Tout cela n'a pas besoin de monnaie pour s'équilibrer. [...]
[...] Le modèle simplifie la réalité. Les salaires aussi sont fixes. Keynes propose le principe de l'offre de travail coudée. ➢ Les exégètes de la théorie générale ont souligné les faiblesses du modèle keynésien Faiblesses internes : - sur le niveau des prix : rigidité des prix, prix fixes. - sur le taux d'intérêt (pont entre le réel et le monétaire). Le taux d'intérêt pose la question du risque. Si on avait un taux d'intérêt fixe, on aurait beaucoup d'individus qui renonceraient à la liquidité. [...]
[...] Wicksel développe la théorie du taux d'intérêt naturel, conditions technologiques expliquent un taux de rendement naturel de l'économie. - sur l'action budgétaire. La justification de la politique budgétaire consiste à dire que l'investissement public doit suppléer l'investissement privé. Hausse de la demande effective = C + I . Une troisième composante = la demande publique qui contribue à déterminer la demande effective. Le multiplicateur de demande publique peut être fort ou faible selon qu'elle est financée par l'impôt ou par l'emprunt. [...]
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