Fluctuations, crises économiques, différentes théories sur les cycles, théories des crises dans le capitalisme, E. Labrousse ,
Les économies capitalistes ont toujours été marquées par une certaine instabilité. La succession de crises avec des périodes prospères à alors entraîner l'émergence de nombreuses « théories des cycles ». La crise économique correspond à un retournement brutal de la conjoncture économique qui marque la fin d'une période d'expansion et débouche sur une récession ou une dépression. L'expansion et son contraire,la récession, désignent l'accélération ou le ralentissent de la conjoncture économique.
[...] Mais il ajoute que ces cycles sont duent aux comportements des agents, qui avancent des projets et prennent des risques lors des phases d'expansion et provoquent par la suite des crises quand ils sont dépassés par leurs engagements (ils ne peuvent remboursé leur crédit, etc). Il met donc l'accent sur le rôle des banques et de la création monétaire (avec les crédits) dans l'explication des cycles. théorie des cycles réels Prescott et Kydland ont démontré que les individus sont rationnels donc ils ne peuvent pas être trompé par le système monétaire ou financier. [...]
[...] La seconde est la crise de 1973 : elle fut déclenchée lors du choc pétrolier d'octobre. En effet, le prix du pétrole a été multiplié par 4 par les pays de l'OPEP, réaction contre la guerre du Kippour. Cela a provoqué de nombreux déséquilibres dans les pays occidentaux et notamment une forte inflation (survient après une longue priode de prospérité économique, le choc a été brutal) mais aussi une forte hausse du chômage et de nombreux déficits commerciaux. Cette crise a été ensuite suivie de multiples récessions. [...]
[...] Ainsi les crises seraient duent à une insuffisance de la demande face au niveau de production des entreprises. Il est le théoricien de la demande anticipée (ou demande effective) : c'est à dire que les entreprises de leur niveau de production et de leur niveau d'emploi en fonction de leur anticipation des comportements des agents économiques. Lorsqu'ils prédisent une trop grande demande par rapport à la demande réelle, ils se voient obligés de baisser le niveau de proction et de l'emploi, ce qui conduira forcément à la crise. [...]
[...] Fluctuations et crises économiques Introduction : Les économies capitalistes ont toujours été marquées par une certaine instabilité. La succession de crises avec des périodes prospères à alors entraîner l'emergence de nombreuses « théories des cycles ». La crise économique correspond à un retournement brutal de la conjoncture économique qui marque la fin d'une période d'epansion et débouche sur une récession ou une dépression. L'expansion et son contraire,la recession, désignent l'accélération ou le ralentissment de la conjoncture économique. Enfin la dépression correspond à la baisse de l'activité economique (on observe dans ces cas là un taux négatif de l'activité économique). [...]
[...] Pour Marx, les crises sont inévitables et régulatrices. Elles sont inévitables car elles sont la conséquence de la paupérisation des ouvrier et de la baisse du taux de profit, pour lui, le capitalisme tend à disparaître. Mais elles sont aussi régulatrices car elles provoquent une forte baisse des prix ainsi que l'eradiction des entreprises affaiblies ce qui permet de rétablir un taux de profit relativement élevé ce qui conduira à une nouvelle phase d'expansion. les théories de régulation L'école de la régulation regroupe plusieurs économistes d'inspiration keynésienne. [...]
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