Open Market : il s'agit du marché monétaire, ouvert pratiquement à tous. On y échange des titres contre la monnaie centrale. La banque centrale intervient en vendant des titres, elle absorbe une partie des liquidités disponibles, le taux d'intérêt augmente, donc le coût du refinancement augmente et les banques sont limitées dans leurs possibilités d'obtenir des crédits ...
[...] Il faut neutraliser la monnaie et abandonner toute politique monétaire. Supprimer les banques centrales et privatiser la monnaie. Friedman 30's. École de Chicago Naissance d'une école libérale qui renouvelle la pensée. Elle triomphe fin 70's. Inventeur du monétarisme : la monnaie est neutre à long terme mais à court terme elle peut avoir une influence sur l'économie. Il ne faut pas jouer avec l'offre de monnaie. Quand M inflation ↓salaires réels embauche des entreprises (temporaires) liée à l'illusion monétaire. Que les salariés quand ils prennent conscience pour lutter pour faire augmenter leurs salaires. [...]
[...] Réglage fin de la conjoncture. Politique discrétionnaire : au coup par coup, qui a été aujourd'hui pratiquement abandonné. Cette politique accompagnait l'économie d'endettement et on s'est aperçu qu'elle agissait de moins en moins sur l'économie dans le sens voulu (échec des politiques keynésiennes fin 70's). Quand on baissait le taux ↑inflation. Quand on augmentait le taux comme les entreprises avaient besoin d'argent elles empruntaient quand même malgré cette hausse et elles répercutaient tout sur les prix. Inverse du résultat voulu. [...]
[...] objectifs intermédiaires. Ce sont deux variables monétaires qui servent de cible aux autorités monétaires. La croissance de la masse monétaire : Privilégiée par les monétaristes. Si M = ↑croissance de l'économie, on évite l'inflation. D'où le contrôle des agrégats monétaires. La politique monétaire devient une politique des règles. Un objectif officiel est fixé et on s'y tient. On développe la confiance des agents et on rend crédible la banque centrale. Cela nécessite que les banques centrales soient indépendantes du pouvoir politique. [...]
[...] Politique monétaire : un des éléments de la politique conjoncturelle. Objectifs : croissance économique, plein-emploi, stabilité des prix, équilibre des paiements (carré magique). Idée : on a un objectif final qui dépend de la réalisation d'objectifs intermédiaires étant réalisés grâce à différents instruments. objectifs. objectifs finaux Ils s'inscrivent dans le carré magique. L'objectif final privilégié va dépendre de l'analyse théorique dominante. Keynésiens : objectif final privilégié = taux de croissance et/ou le niveau de l'emploi. Au point de laisser un peu inflation. [...]
[...] Conclusion : les théories monétaires sont variées mais elles peuvent se regrouper en deux grandes familles : les keynésiens et les libéraux. Ses théories ont influencé des politiques monétaires. La théorie keynésienne apparaît comme correspondant à un capitalisme encadré, une économie d'endettement. Dans les années 80, la théorie monétariste amène des nouvelles politiques monétaires avec des buts différents qui correspondent à un capitalisme plus libéral, plus globalisé, s'accompagnant d'une économie de marché de capitaux. Mais attention des autorités monétaires n'applique pas la théorie monétaire stricto sensu. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture