Dissertation d'économie sur le sujet : Le consommateur est-il toujours rationnel ? Depuis 1870 et la naissance de la micro-économie, cette idée selon laquelle la consommation s'explique uniquement par des variables objectives est revenue sur le devant de la scène. A tel point qu'en 2002, le Prix Nobel d'Economie a été décerné conjointement à un économiste (Vernon Smith) et à un psychologue (Daniel Kahneman). Ce prix représentait un signal pour les abus de formalisation et la nécessité d'une vision large lorsqu'on veut étudier le comportement humain.
[...] La logique du chacun pour soi prime ! A partir de là, on peut isoler deux ou trois paramètres qui raisonnent le comportement de consommation ( pour fonder une théorie de la consommation, on ne peut pas se référer à partir de cas particuliers ( le plus simple est de considérer que la rationalité concerne tout le monde = il essaye tout le temps d'améliorer sa situation individuelle Les paramètres qui gouvernent la décision de consommation 3 ou 4 paramètres permettent de formaliser le comportement : - Le revenu disponible après impôts) : si absence de revenu, l'individu n'est pas un consommateur ( il permet d'actualiser la consommation. [...]
[...] Ce prix représentait un signal pour les abus de formalisation et la nécessité d'une vision assez large lorsqu'on veut étudier le comportement humain ; les économistes ont beaucoup à apprendre des psychologues pour apprendre à savoir comment les individus se comportent, notamment en matière de consommation. Le consommateur, c'est l'agent économique qui utilise à titre final des biens et des services qui sont achetés à des fins privées pour satisfaire des besoins. L'activité de consommation est une activité de destruction des biens et des services en question. L'investisseur ou le producteur, c'est l'agent qui va utiliser les biens et les services afin de produire d'autres biens et services et non pas en vue de satisfaire des besoins. [...]
[...] afin de définir les traits de caractère permettant de se conformer à la réalité ? LE CONSOMMATEUR COMME AGENT OPTIMISATEUR 3 L'Homo oeconomicus Expression consacrée apparue avec la révolution des néo-classiques vers 1870. L'idée comme quoi on peut rationaliser le comportement de le consommateur remonte à Adam Smith (fin du XVIIIè siècle) ou à David Ricardo (début du XIXè siècle). Ces économistes insistaient sur le fait que les agents économiques sont avant tout motivés par la recherche de leur intérêt personnel ! [...]
[...] Cela ne signifie pas que les consommateurs sont irrationnels sinon, ce serait faire injure à leur capacité de raisonnement. Leur rationalité est limitée et soumise à des influences d'environnement. C'est là que l'acteur économique rencontre ses limites car l'économie s'est construite en abstraction des autres sciences humaines ; elle étudie l'individu comme étant mu par la recherche de son intérêt personnel. Lutte Etat grandes entreprises ( nouvelles normes sur le détail de composition des produits La rationalité est-elle individuelle ? [...]
[...] La relation des prix aura un impact sur le pouvoir d'achat des agents A priori, si le prix d'un bien augmente, la consommation diminue et investissement (sauf effet snobisme) - Evolution des taux d'intérêt : R = C + S C = consommation S = épargne est une forme de consommation car taux d'intérêt influence le passage de l'un à l'autre) Avec R = revenu ; partagé par l'individu en deux blocs : consommation et épargne Prix absolu : coût du Bien A mais qu'il faut comparer avec le prix relatif (division de deux prix) ( quel lien entre la consommation d'épargne et de consommation si on est égoïste, on aura tendance à épargner de façon à se créer une solution meilleure pour le plaisir ( motivation = créer du pouvoir d'achats sur la période suivante certaines personnes sont poussés à acheter pour réduire l'épargne - Les préférences du consommateur ( renvoie à des lignes de références personnelles Chaque consommateur a une fonction d'utilité ; les choix sont rationnels, peu importe les objectifs. On suppose que le consommateur est souverain, ce qui lui permet d'exprimer ses goûts personnels ( le consommateur n'agit pas de manière spontanée et irréfléchie car il cherche la combinaison la plus rationnelle. L'acte de consommation peut-il se révéler d'un comportement plus subjectif que rationnel ? [...]
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