Organisation du travail (OST), école classique, école des relations humaines, productivité, compétitivité, facteurs psychologiques, doctrine industrielle, Fayol, Webber, Taylor, Maslow
On peut considérer que c'est à la Renaissance que l'on prend conscience de l'organisation du travail, et que c'est au XVIIe siècle lors de la Révolution industrielle que l'on prend réellement conscience du management. On voit apparaître des grandes entreprises, par exemple l'entreprise Michelin qui apparaît au XVIIIe siècle. La Révolution industrielle se propage de 1848 à 1870. L'arrivée du management prend son essor au XXe siècle. C'est donc à partir du XXe siècle que l'on voit un premier courant se développer, ce dernier va naître sous l'influence de la nouvelle société industrielle marquée par le développement d'un exode rural massif. C'est à ce moment-là que l'on va avoir une concentration massive des ouvriers dans les usines. L'école classique apparaît, les partisans de cette école favorisent la création de richesses, c'est pour cela que l'on va voir apparaître un contre-courant : l'école des relations humaines.
[...] Les différences entre l'école classique et l'école des relations humaines sur l'organisation du travail « L'homme est un animal Rousseau. Le management existe depuis que l'homme vit en communauté. En effet, l'idée du management est une notion héritée de l'ancienne organisation des tribus. Dans chaque tribu, il existait un chef, de plus chaque tâche était repartie à différentes personnes afin d'organiser la communauté. On peut considérer que c'est à la renaissance que l'on prend conscience de l'organisation du travail, au XVIIe siècle, lors de la Révolution industrielle, on prend réellement conscience du management. [...]
[...] En effet, c'est une structure très formalisée avec spécialisation des tâches ainsi qu'une rationalisation des relations humaines. Cette structure détient aussi des capacités d'expertise révolutionnaires. Cependant, cette autorité est trop rigide de par ces règles et ses procédures, elle devient alors inadaptée aux évolutions de l'entreprise. Webber a une vision bureaucratique de l'organisation, il va considérer l'autorité légale comme étant la plus efficace, car selon lui l'autorité ne dépendrait pas des qualités personnelles de l'individu, mais de la capacité d'expertise de ceux qui prennent les décisions. [...]
[...] Afin que ce denier soit plus productif, des aspects psychologiques sont pris en compte par les entreprises afin qu'ils puissent s'accomplir. Une différence est notable entre l'école des relations humaines qui exploite l'individu et l'école des relations humaines qui soutient l'individu et le fait s'accomplir socialement lors de son travail. Cependant il faut concilier les deux écoles afin d'avoir un équilibre. B./Des courants économiques complémentaires Il ne faut pas opposer l'école des relations humaines avec l'école classique il faut les concilier afin de tirer les avantages de chacune. [...]
[...] On a ici une importance de l'ordre divin et du droit coutumier. Ensuite une autorité charismatique liée à une seule personne, qui se traduit par une domination exercée par un individu doté de qualités exceptionnelles de leadership. Autrement dit une personne qui a un pouvoir d'attraction sur les foules. Cette autorité a une légitimité révolutionnaire, cependant elle est peu stable, car elle est trop dépendante du bon vouloir d'une personne. Enfin, l'autorité rationnelle légale apparue dans les sociétés modernes industrielles. Elle est fondée par des règles formelles et des procédures précises. [...]
[...] L'idée commune de ces auteurs fondateurs de l'école classique est le fait qu'il existe une organisation idéale. C'est ce qu'ils vont appeler le best ils mettent en exergue le fait qu'il existe une seule démarche à suivre pour augmenter l'efficacité des entreprises et produire des gains de productivité. Les principes de cette doctrine industrielle sont au nombre de quatre. Tout d'abord, il y a une double division du travail, ensuite, une spécialisation des tâches, afin d'être plus rapide, on retrouve aussi une unité de commandement cette dernière permet de contrôler les rendements des ouvriers et enfin on a une hiérarchisation des fonctions. [...]
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