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De nos jours, la consommation des ménages est au coeur du modèle économique.
Ainsi on constate qu'en 2008, en France, la consommation accroît de seulement
0,3 % par an. On comprend donc que cette crise financière impacte fortement la consommation des ménages. Par ailleurs, l'économie en pâtit. La consommation peut donc être définie comme concept qui désigne l'utilisation ou l'usage de biens et de ressources.
[...] Par conséquent, la consommation est à la base du fonctionnement de l'économie. Ainsi en guise d'ouverture, nous pouvons élargir notre analyse en abordant l'économie souterraine. Cette économie enveloppe des activités non prises en compte sur le marché comme le travail au noir ou comme le travail effectué à la maison (garde d'enfants, aide aux devoirs, tâches ménagères . C'est pourquoi, lorsqu'on consomme un bien ou un service qui est issu d'une activité qui n'est pas déclarée (par exemple), on préserve ce style d'économie sans forcément favoriser les richesses économiques du pays. [...]
[...] Ainsi, on peut se demander quels sont les fondements, les différences et les limites de la consommation dans la pensée néoclassique et keynésienne. Nous verrons dans un premier temps les fondements, caractéristique globale et les différences sur lesquels repose la pensée néoclassique et keynésienne quant à la consommation. Et dans un deuxième temps nous verrons les limites de la pensée néoclassique et keynésienne à propos de la consommation. I. Les fondements La pensée néoclassique de la consommation est une analyse microéconomique. [...]
[...] Ainsi, au niveau de la consommation nous pouvons faire le même constat. Si l'agent économique s'approprie un bien dans son propre intérêt (monopole), cela va engendrer une situation de pénurie et d'épuisement qui n'agira pas en faveur de la collectivité et de l'agent lui-même dans le long terme. La théorie keynésienne fut également beaucoup critiquée pendant les trente glorieuses et dans les années 80. On peut noter la présence d'une critique monétariste faite par l'économiste américain Milton Friedman. Économiste qui a également critiqué les comportements de consommation et la temporalité des politiques de relance, deux théories qui remettent en cause les théories keynésiennes. [...]
[...] Ces derniers peuvent en revanche les évaluer et les comparer et pouvoir faire un choix selon la préférence de ce qui procure le plus d'utilité (approche ordinale). Ensuite, nous pouvons nous questionner au sujet de la main invisible. En effet, d'après le dilemme du prisonnier imaginé par John Nash. Deux agents économiques 1 et 2 sont mis en examen. Ils peuvent choisir deux types de réponses différentes. L'agent économique 1 affirme sa culpabilité tandis que la 2 le dénonce. Ainsi aura 5 ans de prison et 2 sera innocenté (et inversement). [...]
[...] Le contenu de la microéconomie est double. D'un côté elle s'attache à décrire les choix des agents économiques. Et d'un autre côté, elle se consacre à l'étude de la confrontation et de la coordination de ces différentes décisions individuelles. Il est donc traditionnel de distinguer en microéconomie deux catégories d'agents économiques à savoir les consommateurs et les producteurs. En ce qui concerne les consommateurs, chaque agent dispose d'un ensemble de bien ainsi qu'un revenu. Le prix unitaire de chacun des biens disponibles est connu par le consommateur et la consommation de chaque bien lui procure un certain niveau de satisfaction. [...]
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