consommation, structure de la consommation, types de consommation, revenu, prix
La consommation est une opération économique consistant à utiliser de manière immédiate des biens ou des services ce qui entraîne leur destruction. La consommation se différencie alors de l'investissement qui, correspond à l'utilisation de biens durablement à des fins productives. Mais les consommations ne sont pas non plus forcément toutes détruites immédiatement, par exemples les produits alimentaires (consommations non durables) ; d'autres biens peuvent être également utilisés à plusieurs reprises comme par exemple, les voitures, les ordinateurs.
[...] Dans ce type de consommation on distingue encore deux dimensions : - La dépense de consommation finale des ménages, c'est-à-dire ce que dépense les ménages - La consommation finale effective, c'est-à-dire que l'on étudie les biens et les services utilisés par les ménages sans se soucier de la manière dont ils sont financés. De plus, on fait la distinction entre la consommation marchande et la consommation non marchande : La consommation marchande correspond à l'achat d'un bien ou d'un service sur un marché. La consommation non marchande, correspond alors à l'achat d'un bien ou d'un service qui ne se trouve pas sur un marchand. [...]
[...] Mais les consommations ne sont pas non plus forcément toutes détruites immédiatement, par exemples les produits alimentaires (consommations non durables) ; d'autres biens peuvent être également utilisés à plusieurs reprises comme par exemple, les voitures, les ordinateurs . c'est ce que l'on appelle les consommations durables. La consommation des ménages correspond à l'achat de biens visant à satisfaire leurs besoins. On fait donc une différenciation entre les besoins physiologiques tels que le besoin de se nourrir, de se protéger contre les intempéries et le froid (avec des vêtements et un logement) des besoins considérés comme secondaires tels que par exemple le besoin de se distraire, le besoin de s'informer, etc. [...]
[...] Les économistes ont alors établi une nomenclature qui distingue 4 postes principaux : l'alimentation, le logement, les vêtements et les dépenses diverses (loisirs,etc). Selon cette nomenclature et les économistes, le dernier poste, celui des diverses dépenses, ne représente que 10% des dépenses des ménages les plus pauvres (par exemple les ménages ouvrier jusqu'à la fin du Xxème siècle et encore aujourd'hui les ménages les moins favorisés). Mais Durant la deuxième moitié du Xxème siècle, on observe que ce quatrième poste s'est considérablement développé pour finalement représenter une part relativement importante dans les dépenses ménagères avec la montée du secteur tertiaire et l'apparition de nombreux services. [...]
[...] L'INSEE a établie deux autres nomenclatures pour nous rendre compte de la structure des consommations : La première fait la distinction entre les biens et les services en se penche sur le critère de la durabilité des produits consommés, elle les divise alors en trois catégories : Les biens durables (voiture, meubles . les biens semi-durables (les vêtements, les petits appareils électroniques . et les biens non durables (l'alimentation, l'énergie, l'eau . La dernière divise encore de manière extrêmement précise la consommation en 304 postes. [...]
[...] On parle alors de propension à consommer, c'est-à-dire la part du revenu consacré à la consommation du ménage. On calcul la calcul avec le rapport suivant : propension à consommer = consommation du ménage / revenu du ménage On définit plus précisément cette propension de « propension marginale à consommer » qui représente la part de revenu supplémentaire consacré à un supplément de consommation : propension marginales à consommer = augmentation de la conso / augmentation du revenu C'est-à-dire que plus le revenu d'un ménage est élevé, plus celui-ci pourra consommer. [...]
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