Trame écrite (rédigée) d'une khôlle d'Economie réalisée en classe prépa ENS Cachan. On y aborde la définition du capitalisme. Mais cette définition elle est le fait d'un long processus historique, et c'est à cela qu'on s'intéresse aujourd'hui. De quand peut-on dater la naissance du capitalisme, quel en fut le contexte, comment s'est t-il développé, quel en furent les mécanismes, quels étaient la teneurs des critiques qui lui été adressées ?
[...] C'est le taylorisme, du nom de l'ingénieur amérique Frédérick Taylor qui à voué sa vie à la mise au point de cette méthode. Le Fordisme quand à lui propose non seulement un nouveau mode d'organisation du travail (production de masse, rationalisation) mais aussi un nouveau mode d'insertion du salariat dans la société capitaliste. En effet, le 1er janvier, la journée de travail passe de 9 à 8 heure de travail et de 3 à 5 dollars. C'est le five dollar day. [...]
[...] Les capitalismes nationaux cherchent à gagner le monde. La justification est donnée par une démographie galopante qui commence à poser des problèmes, il faut conquérir de nouveau territoires et surtout de nouveaux marchés potentiels. Mais cette vague de colonisation est aussi faite dans un esprit de croisades, il s'agit de convertir des sauvages, des enfants débiles des populations sans énergies, au meilleur système de société possible 10. Qu'est ce que le taylorisme ? Qu'est ce que l'organisation scientifique du travail ? [...]
[...] La consommation sert à afficher son appartenance à un groupe social et son désir surtout de s'agréger au groupe social supérieur, il s'agit de s'élever dans la hiérarchie sociale grâce à l'augmentation de sa consommation. Et c'est bien pour ca que le capitalisme est basé sur une croissance infini, puisqu'il faut sans cesse élever son niveau de consommation La notion d'innovation et sa nécessité ? 15. La notion de destruction créatrice chez Schumpeter ? Voici pour les origines du capitalisme, en ce qui concerne sa dynamique, Schumpeter affirme quelle correspond à un mouvement de destruction créatrice. [...]
[...] Dans le puritanisme, le travail est la plus haute tâche que peut accomplir l'homme pour la gloire de Dieu et le fidèle peut trouver dans sa réussite professionnelle la confirmation de son statut d'élu de Dieu. Mais surtout; la morale calviniste impose de vivre de façon ascétique, c'est-à-dire qu'on ne va pas profiter de sa réussite potentielle et des richesses éventuellement produites. Donc le capital s'accumule, et est réinvestit. Notons que Weber ne prétend pas que ces croyances et cette culture sont à l'origine du capitalisme, mais qu'elles ont constitués un terreau favorable, qu'il y avait des affinités électives qui ont crée un climat favorable. [...]
[...] C'est-à-dire qu'elle va utiliser tout les outils que le capitalisme à déjà mis en place, mais en replacant l'homme au centre. C'est-à-dire qu'elle crée des biens, autant que du lien, la base c'est l'échange, comme dans toute économie, mais c'est aussi le don, et elle ne vit pas que sur du bénévolat, mais elle embauche aussi des salariés. C'est de l'économie autrement. Concrètement ca à donné naissance aux commerces équitables, au peer to peer, au logiciel libre En conclusion, on a vu que le capitalisme est le fruit d'une longue histoire, gouverné par de nombreux mécanismes complexes qui n'ont pas échappé aux critiques. [...]
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